Ex 277/going to Two Dance
Cours gratuits > Forum > Exercices du forum || En basMessage de here4u posté le 13-06-2024 à 23:55:48 (S | E | F)
Hello dears,
Avançons dans la connaissance de notre couple " mixte ". Pour mieux comprendre, nous devons nous replonger dans le contexte socio-historique des Etats-Unis au milieu du XIXè siècle.
Translate into French:
One by one the few trappers who had pioneered the Yellows began to send their squaws and half-breed
children back to the reservation as a shameful gesture of a mistake that had to be righted. He said
nothing of this to the Crow woman, yet when fear showed its luminous shadow in her eyes he knew
she had heard. He said then: «Those men are fools. I am not ashamed of you.» And was happy to see
the fear die.
This was why he took her to Two Dance. It pleased him to have her be seen in that lively little cattle
town for she was a pretty woman with her black hair braided and her clothes neat and colourful under
the sun.
But he had forgotten her customs and when they walked up the street she followed behind him as a squaw
always did, obediently and with her head faintly lowered. He knew how Two Dance would see that and
anger coloured his talk to her on the way home. «A white man’s wife walks beside him, not behind.»
He saw that dark fear in her eyes again, and had no way of softening it.
Never afterwards did she come to town.
He knew then how it was to be. At hay time when he went down to help out on Hat he could feel that
faint line drawn between him and the others; at the roundup fire he sat apart, with the strangeness
there – a white man who was yet not quite white.
Ernest HAYCOX.
Cet exercice est un et il se terminera le jeudi 27 juin 2024.
J'espère que vous serez nombreux à relever le défi!
May the FORCE be with you!
Réponse : Ex 277/going to Two Dance de amalia80, postée le 14-06-2024 à 11:01:08 (S | E)
Hello! Thank you for the correction dear Here4u !
Un par un, les quelques trappeurs qui avaient été les pionniers des Yellows commencèrent à renvoyer leurs femmes squaws et leurs enfants métis à la réserve en signe de honte d'une erreur qui devait être rectifiée. Il ne dit rien de tout cela à sa femme Crow, mais il sut qu'elle avait entendu lorsque l'ombre lumineuse de la peur apparut dans ses yeux. Il lui dit alors ' Ces hommes sont des imbéciles. Je n'ai pas honte de toi." Et il fut satisfait de voir la peur disparaître.
Ce fut la raison pour laquelle il l'emmena à Two Dance .Cela lui plaisait qu'on la voit dans cette petite ville d'élevage animée car c'était une belle femme avec ses cheveux noirs tressés et ses vêtements soignés et colorés sous le soleil.
Mais il avait oublié ses coutumes, et quand ils remontèrent la rue, elle marcha derrière lui, docilement et la tète légèrement baissée comme le fait toujours uns squaw. Il sut comment on verrait cela à Two Dance, et la colère colora son discours sur le chemin du retour." L'épouse d'un homme blanc marche à ses cotés, pas derrière."
Il vit à nouveau cette peur sombre dans ses yeux et n'eut aucun moyen pour l'adoucir.
Elle ne revint plus jamais en ville par la suite.
Il sut alors comment cela allait se passer. A la période des foins, quand il descendit pour donner un coup de main à Hat,
il put ressentir cette légère ligne de démarcation en lui et les autres; au feu de camp il s'assit à l'écart, avec ce sentiment d'étrangeté -un homme blanc qui n'était cependant pas tout à fait blanc.
Réponse : Ex 277/going to Two Dance de gerold, postée le 14-06-2024 à 16:58:20 (S | E)
Hello here4u pour la suite de cette belle histoire, dont on craint qu'elle ne se termine très mal.
L'un après l'autre, les quelques trappeurs qui avaient colonisé les Yellow Hills commencèrent à renvoyer leurs épouses indiennes et leurs enfants de sang-mêlé à la réserve, acte honteux de repentance d'une erreur qu'il fallait réparer. Il n'en dit rien à la jeune Crow mais, voyant une sombre lueur de peur apparaître dans ses yeux, il comprit qu'elle savait. "Ces hommes sont des imbéciles, je n'ai pas honte de toi", lui dit-il. Et il fut heureux de voir la peur s'évanouir.
C'est pour cela qu'il l'emmena à Two Dance. Il lui plaisait qu'on la vît dans cette trépidante petite ville d'éleveurs, jolie comme elle l'était avec ses cheveux noirs tressés et ses vêtements soignés qui chatoyaient au soleil.
Mais il avait oublié ses coutumes et, quand ils remontèrent la rue, elle marcha docilement derrière lui, à la manière immuable des Indiennes, la tête légèrement baissée. Il savait comment cela serait perçu à Two Dance. "L'épouse d'un Blanc marche à ses côtés, pas derrière !", lui dit-il sur le chemin du retour, la voix teintée de colère. Il revit cette sombre peur dans ses yeux, et ne sut comment l'apaiser. Elle ne revint plus jamais à la ville.
Il comprit alors ce qui allait arriver. Lorsqu'il descendit aider à la fenaison au Ranch Hat, il se sentit comme séparé des autres par une frontière impalpable. Autour du feu de camp, ils s'assirent à l'écart, lui et sa singularité de Blanc qui ne l'était pourtant pas tout à fait.
Réponse : Ex 277/going to Two Dance de mayamalher92, postée le 16-06-2024 à 17:46:32 (S | E)
Hello Here4u,
L’un après l’autre, les quelques trappeurs qui s’étaient installés dans les Yellows, commencèrent à envoyer leurs femmes indiennes et leurs enfants métis dans la réserve, geste honteux d’une faute qui devait être réparée. Il n’en dit rien à sa femme Crow, cependant lorsqu’il vit briller la peur dans ses yeux, il sut qu’elle avait compris. Alors, il lui dit : “Ces hommes sont des imbéciles. Je n’ai pas honte de toi”. Et il fut heureux de voir cette peur disparaitre. C’est pourquoi il l’emmena à Two Dance. Ca lui plaisait de la montrer dans cette petite ville d’éleveurs, animée, parce que c’était une jolie femme avec ses cheveux noirs tressés et ses vêtements propres et colorés sous le soleil. Mais il avait oublié ses coutumes et quand ils remontèrent la rue, elle marcha derrière lui docilement, la tête légèrement baissée. Il savait comment Two Dance jugerait celà et, sur le chemin du retour, il lui parla sur un ton empreint de colère “L’épouse d’un homme blanc doit marcher à côté de lui, pas derrière” Il vit cette sombre peur briller de nouveau dans ses yeux et il ne sut pas comment l’atténuer. Après celà, elle ne retourna plus jamais en ville.
A la fenaison lorsqu’il descendit aider à Hat, il sentit qu’une barrière un peu floue s’était dressée entre lui et les autres ; autour du feu de camp, il s’asseyait à part, avec cette sensation bizarre d’être un homme blanc, pas tout à fait blanc.
Voilà, sombre histoire... A bientôt
Réponse : Ex 277/going to Two Dance de magie8, postée le 17-06-2024 à 08:59:37 (S | E)
Hello here is my work Ready to correct thank you
One by one the few trappers who had pioneered the Yellows began to send their squaws and half-breed
children back to the reservation as a shameful gesture of a mistake that had to be righted. He said
nothing of this to the Crow woman, yet when fear showed its luminous shadow in her eyes he knew
she had heard. He said then: «Those men are fools. I am not ashamed of you.» And was happy to see
the fear die.
This was why he took her to Two Dance. It pleased him to have her be seen in that lively little cattle
town for she was a pretty woman with her black hair braided and her clothes neat and colourful under
the sun.
But he had forgotten her customs and when they walked up the street she followed behind him as a squaw
always did, obediently and with her head faintly lowered. He knew how Two Dance would see that and
anger coloured his talk to her on the way home. «A white man’s wife walks beside him, not behind.»
He saw that dark fear in her eyes again, and had no way of softening it.
Never afterwards did she come to town.
He knew then how it was to be. At hay time when he went down to help out on Hat he could feel that
faint line drawn between him and the others; at the roundup fire he sat apart, with the strangeness
there – a white man who was yet not quite white.
L'un après l'autre, les quelques trappeurs qui avaient été les pionniers des Yellows commencèrent à renvoyer leurs squaws et leurs enfants métis dans la réserve, comme un geste honteux d une erreur qui devait être réparée.
Il ne dit rien de tout cela à la femme Crow, mais quand un éclat de peur noire brilla dans ses yeux, il sut qu'elle en avait entendu parler. Il lui dit alors "Ces hommes sont des imbéciles. Je n'ai pas honte de toi." Et il fut heureux de voir la peur disparaître.
C'est pourquoi il l'emmena à Two Dance. Il était content qu'elle soit vue dans cette petite ville d'élevage très animée, car c'était une jolie femme avec ses cheveux noirs tressés et ses vêtements soignés et colorés resplendissants sous le soleil.
Mais il avait oublié ses coutumes et lorsqu'ils remontèrent la rue, elle suivait derrière lui, docilement et la tête légèrement baissée, comme le fait toujours une squaw. Il savait comment les gens de Deux-Danses verraient cela et sur le chemin du retour, la colère teinta son discours "La femme d'un homme blanc marche à côté de lui, pas derrière. Il vit à nouveau cette peur sombre dans ses yeux et n'eut aucun moyen de l'adoucir.
Après cela, elle ne revint plus jamais en ville.
Il sut alors comment les choses allaient se passer. A la période des foins, lorsqu'il descendit pour aider Hat, il sentit cette impalpable ligne de distance tracée entre lui et les autres ; autour du feu de ralliement, il s'assit à l'écart, avec le sentiment d'étrangeté d'un homme blanc qui ne l'était plus tout à fait.
Ernest HAYCOX.
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Modifié par magie8 le 17-06-2024 11:40
THANK YOU
Réponse : Ex 277/going to Two Dance de happynutmeg13, postée le 18-06-2024 à 15:19:46 (S | E)
Hello!
Thank you for this new suggestion!
Here is my work:
"Un par un, les quelques trappeurs qui s'étaient installés en pionniers dans les Yellows commencèrent à renvoyer leur femme indienne et leurs enfants métis dans la réserve, comme un signe honteux d'une erreur qui devait être corrigée.
Il ne dit rien de ceci à la femme Crow, cependant quand l'ombre de la peur s'alluma dans ses yeux, il sut qu'elle était au courant. Il dit alors : « Ces hommes sont des fous. Je n'ai pas honte de toi. » Et il fut heureux de voir la peur s'éteindre.
C'est pourquoi il l'amena à Two Dance. Cela lui faisait plaisir qu'elle soit vue dans cette petite ville d'élevage animée, car elle était une jolie femme avec ses cheveux noirs tressés et ses habits soignés et colorés sous le soleil.
Mais il avait oublié ses coutumes et quand ils remontèrent la rue, elle marcha derrière lui comme une épouse indienne le faisait toujours, docilement et la tête légèrement abaissée. Il savait comment Two Dance interprèterait cela et sur le chemin du retour sa voix se teinta de colère : « La femme d'un homme blanc marche à côté de lui, pas derrière. »
Il vit cette peur sombre revenir dans ses yeux, et n'avait pas de moyen pour l'apaiser.
Plus jamais après cela elle ne vint à la ville. Il sut alors comment les choses allaient être. A la période des foins, quand il descendit à Hat pour donner un coup demain, il put sentir cette ligne ténue tracée entre lui et les autres ; autour du feu de camp il s'assit à part, avec ce sentiment d'étrangeté présent, -un homme blanc qui n'était cependant pas tout à fait blanc."
Réponse : Ex 277/going to Two Dance de satth, postée le 21-06-2024 à 19:49:19 (S | E)
Hello Here4u,
Here is my work :
L’un après l’autre, les quelques trappeurs qui avaient été les pionniers des Collines Jaunes commencèrent à renvoyer leurs squaws et leurs enfants métissés à la réserve comme s’ils se devaient de corriger une erreur honteuse. Il n’en dit mot à la femme Crow, cependant, quand la peur se manifesta en ombre lumineuse dans ses yeux, il sut qu’elle en avait entendu parler. Il dit alors : « Ces hommes sont sots. Je n’ai pas honte de nous. ». Et il fut heureux de voir la peur s’éteindre.
Ce fut pour cela qu’il l’emmena à Two Dance. Qu’elle soit vue dans la petite ville animée et pleine de bétails le rendait fier parce qu’elle était une jolie femme avec ses longs cheveux noirs et raides et ses vêtements soignés et éclatants de couleurs sous le soleil.
Mais il avait oublié ses coutumes et quand ils marchaient dans la rue, elle le suivait en arrière comme le ferait toute squaw, docile et la tête légèrement inclinée.
Il savait comment Two Dance interpréterait cela et la colère colorait ses paroles sur le chemin du retour à la maison. « La femme d’un homme blanc marche à ses côtés, pas derrière ». Il vit à nouveau cette sombre inquiétude dans ses yeux, et n’eut aucun moyen de l’adoucir. Après cela, elle ne vint plus jamais en ville.
Il sut bientôt ce qui avait changé. A la période des foins quand il descendit à Hat pour donner un coup de main, il put sentir qu’une fine frontière s’était dessinée ente lui et les autres ; autour du feu il s’assit à l’écart, avec ce sentiment bizarre – un homme blanc qui n’était cependant plus tout à fait blanc.
Thank you ! And have a nice day !
Réponse : Ex 277/going to Two Dance de here4u, postée le 22-06-2024 à 12:30:56 (S | E)
on the site, satth! Happy you stepped in!
Réponse : Ex 277/going to Two Dance de mad14, postée le 24-06-2024 à 12:44:04 (S | E)
Ex 277 GOING To TWO DANCE - Ernest HAYCOX
Good morning Here4 U – Here’s my translation. I had a lot of hesitation in the statement,I get lost...
Un à un les quelques premiers trappeurs arrivés à « The Yellows »commencèrent à renvoyer leurs femmes indiennes et leur progéniture métis à la réserve comme dans un geste de l’erreur honteuse qu’ils devaient réparer. Il n’en parla pas à sa femme indienne, pourtant quand la peur éclata et assombrit le regard de sa femme, il comprit qu’elle en avait entendu parler. Il dit alors : Ces hommes sont fous. Je n’ai pas honte de toi. Et je fus heureux de voir sa peur s’éteindre. C’est pourquoi il l’emmena à "Two Dance". Ca lui faisait plaisir d’être vu avec elle dans cette petite ville d’élevage de bovins animée car elle était une belle femme avec ses cheveux noirs nattés, ses vêtements apprêtés et colorés sous le soleil. Mais il avait oublié ses coutumes et quand ils montèrent la rue elle le suivit à la manière, comme l’avait toujours fait une « squaw », en marchant derrière lui, docilement avec la tête légèrement baissée. Il savait comment « Two Dance » interpréterait cela et sa conversation avec elle sur le chemin du retour fût teintée de colère. La femme d’un homme blanc marche à côté de son mari, pas derrière lui. Il a vu cette peur sombre revenir dans ses yeux et il n’avait aucun moyen de l’apaiser. Jamais ensuite elle ne revint en ville. Il sut alors comment les choses allaient se passer. A la période des foins quand il descendit pour aider sur « Hat » il put ressentir cette légère barrière mettant de la distance entre lui et les autres ; Au moment du rassemblement autour du feu, il s’assit à l’écart, avec ce sentiment de bizarrerie, celui d’un homme blanc qui n’était pas encore tout à fait blanc.
Réponse : Ex 277/going to Two Dance de here4u, postée le 27-06-2024 à 15:58:31 (S | E)
Hello!
Ceci n'est pas la dernière version de la page...
J'ai été interrompue hier à 21h15, comme tout le monde je suppose ! Je ne peux pas continuer d'envoyer les corrections tant que la "panne " perdurera. La correction de ce soir est prête, mais il n'est pas évident que je puisse la poster dans ces conditions (mon ordinateur principal n'a accès qu'à une seule page du site )
Désolée... mais soyons pragmatiques !
Réponse : Ex 277/going to Two Dance de here4u, postée le 27-06-2024 à 22:00:53 (S | E)
Hello, dears!
Je poste tant que je le peux, avant la maintenance... J'espère avoir le temps de relire le transfert !
Je suis désolée de ne pas avoir pu vous envoyer vos versions hier et aujourd'hui...
L'essentiel est que vous puissiez avoir les travaux pour le week-end !
Merci, webMaster pour toutes ces manipulations et tous ces efforts !
Translate into French:
One by one the few trappers who had pioneered the Yellows began to send their squaws and half-breed
children back to the reservation as a shameful gesture of a mistake that had to be righted. He said
nothing of this to the Crow woman, yet when fear showed its luminous shadow in her eyes he knew
she had heard. He said then: «Those men are fools. I am not ashamed of you.» And was happy to see
the fear die.
This was why he took her to Two Dance. It pleased him to have her be seen in that lively little cattle town
for she was a pretty woman with her black hair braided and her clothes neat and colourful under the sun.
But he had forgotten her customs and when they walked up the street she followed behind him as a squaw
always did, obediently and with her head faintly lowered. He knew how Two Dance would see that and
anger coloured his talk to her on the way home. «A white man’s wife walks beside him, not behind.»
He saw that dark fear in her eyes again, and had no way of softening it.
Never afterwards did she come to town .
He knew then how it was to be. At hay time when he went down to help out on Hat he could feel that
faint line drawn between him and the others; at the roundup fire he sat apart, with the strangeness there
– a white man who was yet not quite white.
L’un après l’autre, les quelques trappeurs qui s’étaient installés les premiers dans les Yellows commencèrent à
renvoyer leur épouse indienne et leurs enfants de sang mêlé à la réserve, geste de honte d’une erreur qui
devait être réparée. Il ne dit rien de tout cela à son épouse Crow, cependant lorsque l'ombre de la peur (1) lui
éclaira les yeux il sut qu’elle en avait entendu parler. Il dit alors : « Ces hommes sont des imbéciles. Je n’ai
pas honte de toi ». Il fut heureux de voir la peur disparaître.
C’est pourquoi il l’emmena à Two Dance. Cela lui plaisait qu'on la voie (2) dans cette petite ville d’élevage animée,
car (3) c’était une jolie femme aux cheveux bruns tressés, et aux vêtements nets et colorés sous le soleil.
Mais il avait oublié les coutumes de son épouse, (4) et lorsqu’ils remontèrent la rue, elle marcha derrière lui, comme
une squaw le faisait toujours, docilement, la tête légèrement baissée. Il sut comment Two Dance considérerait
cela, et sur le chemin du retour, la voix se teinta de colère lorsqu’il lui dit : « L'épouse d'un homme blanc marche
à ses cotés, pas derrière. » Il vit la peur assombrir ses yeux de nouveau et ne sut comment l’apaiser.
Jamais plus elle n’alla en ville. (5)
Il sut alors ce qui devait se passer (6). Au moment des foins, lorsqu’il descendit pour aider au ranch Hat,
il ressentit (7) cette frontière impalpable entre lui et les autres. Autour du feu de camp, il resta assis(8) à l’écart,
animé du sentiment étrange de l’homme blanc qui ne l’était plus tout à fait…
(1) ‘when fear showed its luminous shadow in her eyes’ : hum… étrange expression en anglais qu’il sera difficile
– voire impossible – de ne pas rendre étrange en français…
(How can a shadow be luminous?) Certains ont choisi de coller au texte (l’ombre lumineuse/ une sombre lueur/) Cela ne peut
pas être faux, mais est franchement peu clair en français. D’autres on choisi de développer l’image évoquée : « un éclat
de peur noire brilla/ il vit briller la peur dans ses yeux/ la peur éclata et assombrit/ l’ombre de la peur s’alluma". Je
les ai suivis. Mais décider laquelle est la meilleure... encore une fois c’est plus une question d’esthétisme que de sens…
[Souvenez-vous des deux qualités requises d’une traduction : élégance du français et fidélité au texte. ]
(2) « voir » au subjonctif présent. (qu’on la voie). L’orthodoxie demande l’imparfait du subjonctif : qu’on la vît.
(3) Attention ! Pour la description d’un personnage : En français il faut dire : "C’était un homme/ c’était une femme" et
non pas « il était un homme/ elle était une femme » qui sont des anglicismes (les pronoms personnels sont obligatoires en
anglais). De même on utilise en français « aux yeux bleus/ aux cheveux bruns », alors qu’en anglais «with black braided hair»,
de même pour les vêtements ‘with her clothes … » (autre anglicisme)
(4) J’ai « développé » car « her customs »/ « ses coutumes » était une traduction équivoque=> « il avait oublié les coutumes
de son épouse »
(5) Attention ! Il était très important de bien respecter l’effet d’insistance, d’absolu donné par l’emploi de « Jamais »
en début de phrase.
(6) « then how it was to be » : sens de prédiction ici…, d'une suite inexorable des événements qui s'enchaînent...
(7) he could feel: attention, devant les verbes de perception involontaire [feel, see, taste, hear] il est obligatoire de mettre
le modal CAN en anglais. C’est un anglicisme. Il ne se traduit pas en français.
(8) 'he sat apart'. Ne pas confondre to sit : être assis, rester assis. ET 'to sit down': qui implique un mouvement : s’assoir.
(9) – a white man who was yet not quite white : Pour moi, il n’y avait pas de doute ; il fallait ici ne pas hésiter à « forcer »
un peu le trait, en explicitant simplement ce qui était induit « il n’ était plus tout à fait blanc ». Merci à celles qui l'ont
« senti » aussi…
Pour ceux qui ont gardé la structure du texte «a white man» est encore un anglicisme : "a/an" obligatoire devant les noms en apposition.
Ne pas traduire l’article en français !
Plein de petits pièges, donc ! Des petites fautes, pas graves, mais " primaires…", si j'ose dire : indignes de vous, tellement
évidentes que vous n'auriez pas dû tomber dedans... Surtout que vous avez, pour ce qui était plus délicat, fait un très bon travail !
, toujours aussi fouillé et précis. à tous !
Nous retrouverons notre couple pour d'autres aventures !
(Je me remets à l'envoi de vos corrections, with my fingers crossed! )
Réponse : Ex 277/going to Two Dance de satth, postée le 30-06-2024 à 15:52:33 (S | E)
thank you for your welcome and for this exercise!🤩
Réponse : Ex 277/going to Two Dance de here4u, postée le 30-06-2024 à 23:37:45 (S | E)
Hello satth!
You're most welcome, really... As you didn't mention your individual correction, I checked whether you had received it or not and couldn't find it... Therefore, I sent it again, and hope you'll get it this time.
"The Machine" and I apologise... have a good week! and thanks for your work...
This fortnight, we'll need volunteers to help in the New Our Story...
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