La fille au foulard bleu
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Message de nadjette posté le 11-08-2015 à 15:31:56 (S | E | F)
Bonjour !
J'ai écrit ce texte dans le cadre de mon apprentissage du français et j'aimerais bien que vous m'aidiez à le corrigiez s'il vous plaît.
Merci d'avance
Elle avait capté toute la lumière à ne rien laisser aux autres femmes qui paraissaient ternes, fades et sans aucune énergie. Dans cette masse lourde, elle rayonnait de vie, de jeunesse et de beauté. Son foulard bleu rehaussait le noir de ses yeux et donnait un éclat à son visage angélique, d’autant plus qu’il émanait d’elle une sensualité torrentielle, une énergie affolante. Elle était telle une princesse de Mille Et Une Nuit ou la Reine de Saba entourée de ses serves. On aurait dit qu’elle était la seule d’avoir envie de se trouver sur ce lieu de culte, ses yeux aux aguets, elle attendait surement un signe, le bon moment pour s’éclipser et rejoindre son amoureux. Le jour du Bouddha était leur seule occasion de se voir, elle vivait dans l’isolement, une sorte de mise en quarantaine. Son père la considérait comme son joyeux le plus précieux, il avait tellement peur pour elle qu'il l'empêchait de sortir seule, il refusait l'idée qu'elle fréquente les autres. Mais il ne savait pas ou peut-être n'accepter pas que sa fille était en âge de tomber amoureuse......
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Modifié par bridg le 11-08-2015 19:36
C'est vous qui corrigerez en suivant les indications données par les membres, pas nous
Merci, ensuite de poster votre version corrigée pour la soumettre à nouveau aux membres, et ce, autant de fois que nécessaire jusqu'à finalisation du travail.
Message de nadjette posté le 11-08-2015 à 15:31:56 (S | E | F)
Bonjour !
J'ai écrit ce texte dans le cadre de mon apprentissage du français et j'aimerais bien que vous m'aidiez à le corrigiez s'il vous plaît.
Merci d'avance
Elle avait capté toute la lumière à ne rien laisser aux autres femmes qui paraissaient ternes, fades et sans aucune énergie. Dans cette masse lourde, elle rayonnait de vie, de jeunesse et de beauté. Son foulard bleu rehaussait le noir de ses yeux et donnait un éclat à son visage angélique, d’autant plus qu’il émanait d’elle une sensualité torrentielle, une énergie affolante. Elle était telle une princesse de Mille Et Une Nuit ou la Reine de Saba entourée de ses serves. On aurait dit qu’elle était la seule d’avoir envie de se trouver sur ce lieu de culte, ses yeux aux aguets, elle attendait surement un signe, le bon moment pour s’éclipser et rejoindre son amoureux. Le jour du Bouddha était leur seule occasion de se voir, elle vivait dans l’isolement, une sorte de mise en quarantaine. Son père la considérait comme son joyeux le plus précieux, il avait tellement peur pour elle qu'il l'empêchait de sortir seule, il refusait l'idée qu'elle fréquente les autres. Mais il ne savait pas ou peut-être n'accepter pas que sa fille était en âge de tomber amoureuse......
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Modifié par bridg le 11-08-2015 19:36
C'est vous qui corrigerez en suivant les indications données par les membres, pas nous
Merci, ensuite de poster votre version corrigée pour la soumettre à nouveau aux membres, et ce, autant de fois que nécessaire jusqu'à finalisation du travail.
Réponse: La fille au foulard bleu de jij33, postée le 11-08-2015 à 23:23:22 (S | E)
Bonsoir
Bien joli texte et belle imagination, vraiment !
Elle avait capté toute la lumière à ne rien laisser aux autres femmes (deux solutions : soit vous remplacez "à" par "au point de", soit vous mettez une conjonction de coordination et conjuguez laisser au plus-que-parfait) qui paraissaient ternes, fades et sans aucune énergie. Dans cette masse lourde, elle rayonnait de vie, de jeunesse et de beauté. Son foulard bleu rehaussait le noir de ses yeux et donnait un éclat (ajoutez un adjectif) à son visage angélique, d’autant plus qu’il émanait d’elle une sensualité torrentielle, une énergie affolante. Elle était telle une princesse de (contraction de de + les) Mille Et (pas de majuscule) Une Nuit (mille et une, donc... pluriel !) ou la Reine de Saba entourée de ses serves. On aurait dit qu’elle était la seule d' (autre préposition) avoir envie de se trouver sur ce lieu de culte, (point) ses (remplacer par le déterminant défini) yeux aux aguets, elle attendait surement (il manque un accent) un signe, le bon moment pour s’éclipser et rejoindre son amoureux. Le jour du Bouddha était leur seule occasion de se voir, (autre ponctuation) elle vivait dans l’isolement, une sorte de mise en quarantaine. Son père la considérait comme son joyeux (Vous avez employé un adjectif formé sur joie. Remplacez-le par un paronyme, synonyme de bijou) le plus précieux, (point) il avait tellement peur pour elle qu'il l'empêchait de sortir seule,(remplacer la virgule par une conjonction de subordination en supprimant il) il refusait l'idée qu'elle fréquente les autres (correct, mais peut être amélioré). Mais (peut être supprimé) il ne savait pas ou peut-être n'accepter (à l'imparfait, comme le verbe précédent) pas que sa fille était en âge de tomber amoureuse...
Bonne continuation !
Réponse: La fille au foulard bleu de nadjette, postée le 12-08-2015 à 02:21:01 (S | E)
Bonsoir jiji33 et merci de m'avoir tendu la main !
Elle avait capté toute la lumière au point de ne rien laisser aux autres femmes qui paraissaient ternes, fades et sans aucune énergie. Dans cette masse lourde, elle rayonnait de vie, de jeunesse et de beauté. Son foulard bleu rehaussait le noir de ses yeux et donnait un éclat nacré à son visage angélique, d’autant plus qu’il émanait d’elle une sensualité torrentielle, une énergie affolante. Elle était telle une princesse des Mille et Une Nuits ou la Reine de Saba entourée de ses serves. On aurait dit qu’elle était la seule à avoir envie de se trouver sur ce lieu de culte. Les yeux aux aguets, elle attendait sûrement un signe, le bon moment pour s’éclipser et rejoindre son amoureux. Le jour du Bouddha était leur seule occasion de se voir; elle vivait dans l’isolement, une sorte de mise en quarantaine. Son père la considérait comme son joyaux le plus précieux. Il avait tellement peur pour elle qu'il l'empêchait de sortir seule et refusait l'idée qu'elle fréquente ses semblables. il ne savait pas ou peut-être n'acceptait pas que sa fille était en âge de tomber amoureuse...
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Modifié par bridg le 12-08-2015 02:36
Réponse: La fille au foulard bleu de jij33, postée le 12-08-2015 à 06:13:41 (S | E)
Bonjour nadjette
Elle avait capté toute la lumière au point de ne rien laisser aux autres femmes qui paraissaient ternes, fades et sans aucune énergie. Dans cette masse lourde, elle rayonnait de vie, de jeunesse et de beauté. Son foulard bleu rehaussait le noir de ses yeux et donnait un éclat nacré à son visage angélique, d’autant plus qu’il émanait d’elle une sensualité torrentielle, une énergie affolante. Elle était telle une princesse des Mille et Une Nuits ou la Reine de Saba entourée de ses serves. On aurait dit qu’elle était la seule à avoir envie de se trouver sur ce lieu de culte. Les yeux aux aguets, elle attendait sûrement un signe, le bon moment pour s’éclipser et rejoindre son amoureux. Le jour du Bouddha était leur seule occasion de se voir (espace avant un point-virgule et toute ponctuation double); elle vivait dans l’isolement, une sorte de mise en quarantaine. Son père la considérait comme son joyaux (au singulier) le plus précieux. Il avait tellement peur pour elle qu'il l'empêchait de sortir seule et refusait l'idée qu'elle fréquente ses semblables. il ne savait pas ou peut-être n'acceptait pas que sa fille était (accepter se construit avec le subjonctif, mais pas savoir ; il va falloir changer l'ordre des propositions : il ne savait pas que... ou peut-être...) en âge de tomber amoureuse...
Bonne continuation.
Réponse: La fille au foulard bleu de nadjette, postée le 12-08-2015 à 12:40:04 (S | E)
Bonjour jij33
Merci de votre attention, votre correction m'est très utile !Elle avait capté toute la lumière au point de ne rien laisser aux autres femmes qui paraissaient ternes, fades et sans aucune énergie. Dans cette masse lourde, elle rayonnait de vie, de jeunesse et de beauté. Son foulard bleu rehaussait le noir de ses yeux et donnait un éclat nacré à son visage angélique, d’autant plus qu’il émanait d’elle une sensualité torrentielle, une énergie affolante. Elle était telle une princesse des Mille et Une Nuits ou la Reine de Saba entourée de ses serves. On aurait dit qu’elle était la seule à avoir envie de se trouver sur ce lieu de culte. Les yeux aux aguets, elle attendait sûrement un signe, le bon moment pour s’éclipser et rejoindre son amoureux. Le jour du Bouddha était leur seule occasion de se voir ; elle vivait dans l’isolement, une sorte de mise en quarantaine. Son père la considérait comme son joyau le plus précieux. Il avait tellement peur pour elle qu'il l'empêchait de sortir seule et refusait l'idée qu'elle fréquente ses semblables. il ne savait pas que sa fille ou peut-être n'acceptait pas qu'elle était en âge de tomber amoureuse...
Passez une bonne après-midi !
Cordialement
Réponse: La fille au foulard bleu de jij33, postée le 12-08-2015 à 14:28:51 (S | E)
Bonjour nadjette
C'est presque parfait : il reste une seule erreur à corriger
Elle avait capté toute la lumière au point de ne rien laisser aux autres femmes qui paraissaient ternes, fades et sans aucune énergie. Dans cette masse lourde, elle rayonnait de vie, de jeunesse et de beauté. Son foulard bleu rehaussait le noir de ses yeux et donnait un éclat nacré à son visage angélique, d’autant plus qu’il émanait d’elle une sensualité torrentielle, une énergie affolante. Elle était telle une princesse des Mille et Une Nuits ou la Reine de Saba entourée de ses serves. On aurait dit qu’elle était la seule à avoir envie de se trouver sur ce lieu de culte. Les yeux aux aguets, elle attendait sûrement un signe, le bon moment pour s’éclipser et rejoindre son amoureux. Le jour du Bouddha était leur seule occasion de se voir ; elle vivait dans l’isolement, une sorte de mise en quarantaine. Son père la considérait comme son joyau le plus précieux. Il avait tellement peur pour elle qu'il l'empêchait de sortir seule et refusait l'idée qu'elle fréquente ses semblables. il ne savait pas que sa fille ou peut-être n'acceptait pas qu'elle était en âge de tomber amoureuse... (C'est encore cette phrase qui pose problème : réessayons ! Il ne savait pas + proposition subordonnée conjonctive + ou peut-être ne [à compléter par trois mots seulement]).
Bonne fin de correction !
Réponse: La fille au foulard bleu de nadjette, postée le 12-08-2015 à 16:00:02 (S | E)
Rebonjour jij33
j'espère que j'y arriverai cette fois 
Elle avait capté toute la lumière au point de ne rien laisser aux autres femmes qui paraissaient ternes, fades et sans aucune énergie. Dans cette masse lourde, elle rayonnait de vie, de jeunesse et de beauté. Son foulard bleu rehaussait le noir de ses yeux et donnait un éclat nacré à son visage angélique, d’autant plus qu’il émanait d’elle une sensualité torrentielle, une énergie affolante. Elle était telle une princesse des Mille et Une Nuits ou la Reine de Saba entourée de ses serves. On aurait dit qu’elle était la seule à avoir envie de se trouver sur ce lieu de culte. Les yeux aux aguets, elle attendait sûrement un signe, le bon moment pour s’éclipser et rejoindre son amoureux. Le jour du Bouddha était leur seule occasion de se voir ; elle vivait dans l’isolement, une sorte de mise en quarantaine. Son père la considérait comme son joyau le plus précieux. Il avait tellement peur pour elle qu'il l'empêchait de sortir seule et refusait l'idée qu'elle fréquente ses semblables. il ne savait pas que sa fille ou peut-être parce qu'il n'acceptait pas qu'elle était en âge de tomber amoureuse...
Merci,
Cordialement
Réponse: La fille au foulard bleu de jij33, postée le 12-08-2015 à 18:59:17 (S | E)
Vous n'y êtes pas encore arrivée, nadjette, mais cela va venir ! Je vous aide : il ne savait pas que sa fille était en âge de tomber amoureuse ou peut-être... (à compléter). Pensez que le sujet est le plus souvent inversé après un adverbe comme "peut-être".
Réponse: La fille au foulard bleu de nadjette, postée le 12-08-2015 à 20:01:26 (S | E)
Voilà, je sais qu'il m'arrive que je sois un peu lente comme c'est le cas aujourd'hui,et je dois, par ailleurs fournir encore plus d'efforts mais je crois que je n'ai pas vraiment le choix et je dois terminer ......
Elle avait capté toute la lumière au point de ne rien laisser aux autres femmes qui paraissaient ternes, fades et sans aucune énergie. Dans cette masse lourde, elle rayonnait de vie, de jeunesse et de beauté. Son foulard bleu rehaussait le noir de ses yeux et donnait un éclat nacré à son visage angélique, d’autant plus qu’il émanait d’elle une sensualité torrentielle, une énergie affolante. Elle était telle une princesse des Mille et Une Nuits ou la Reine de Saba entourée de ses serves. On aurait dit qu’elle était la seule à avoir envie de se trouver sur ce lieu de culte. Les yeux aux aguets, elle attendait sûrement un signe, le bon moment pour s’éclipser et rejoindre son amoureux. Le jour du Bouddha était leur seule occasion de se voir ; elle vivait dans l’isolement, une sorte de mise en quarantaine. Son père la considérait comme son joyau le plus précieux. Il avait tellement peur pour elle qu'il l'empêchait de sortir seule et refusait l'idée qu'elle fréquente ses semblables. il ne savait pas que sa fille était en âge de tomber amoureuse ou peut-être qu'il ne l'acceptait pas ...
Merci jij33 pour votre soutien et encouragement
Amicalement
Réponse: La fille au foulard bleu de jij33, postée le 12-08-2015 à 21:33:53 (S | E)
Oui, nadjette : il ne savait pas que sa fille était en âge de tomber amoureuse ou peut-être qu'il ne l'acceptait pas... J'aurais dit "ou peut-être ne l'acceptait-il pas", mais votre version est tout à fait correcte.
et bonne continuation ! Réponse: La fille au foulard bleu de nadjette, postée le 12-08-2015 à 23:04:18 (S | E)
Bonsoir jij33,
Je préfère votre version parce que cette tournure fait toute le différence
Elle avait capté toute la lumière au point de ne rien laisser aux autres femmes qui paraissaient ternes, fades et sans aucune énergie. Dans cette masse lourde, elle rayonnait de vie, de jeunesse et de beauté. Son foulard bleu rehaussait le noir de ses yeux et donnait un éclat nacré à son visage angélique, d’autant plus qu’il émanait d’elle une sensualité torrentielle, une énergie affolante. Elle était telle une princesse des Mille et Une Nuits ou la Reine de Saba entourée de ses serves. On aurait dit qu’elle était la seule à avoir envie de se trouver sur ce lieu de culte. Les yeux aux aguets, elle attendait sûrement un signe, le bon moment pour s’éclipser et rejoindre son amoureux. Le jour du Bouddha était leur seule occasion de se voir ; elle vivait dans l’isolement, une sorte de mise en quarantaine. Son père la considérait comme son joyau le plus précieux. Il avait tellement peur pour elle qu'il l'empêchait de sortir seule et refusait l'idée qu'elle fréquente ses semblables. il ne savait pas que sa fille était en âge de tomber amoureuse ou peut-être ne l'acceptait-il pas ..
Merci pour ce que vous avez fait pour moi et pour tous les autres membres, et je vous félicite pour votre français et pour votre engagement
Bonne continuation
Réponse: La fille au foulard bleu de jij33, postée le 12-08-2015 à 23:42:04 (S | E)
Merci à vous ! Votre jugement n'engage que vous mais il est fort sympathique
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