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[Italien]Une intégration réussie

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[Italien]Une intégration réussie
Message de olivia07 posté le 26-06-2009 à 12:12:07 (S | E | F)

Voilà l'épreuve d'italien du bac de l'année 2008. Je vous propose de traduire le texte.


Un'integrazione riuscita
Laura parlava di Amsterdam, dove i genitori erano arrivati senza conoscere nessuno e con quattro soldi e una carta d'identità falsa, avevano preso in affitto un piccolo appartamento. All'inizio era stato più facile del previsto. Non si erano sentiti braccati, fuggiaschi, profughi (1), ma semplici emigranti in cerca di lavoro. Che avevano trovato assieme, nella stessa fabbrica di elettronica e, pur non essendo abituati alle
attività manuali, non si erano mai lamentati, il salario era buono, potevano costruirsi una nuova vita un futuro dignitoso, dimenticando il passato. Nostalgia ? Solo Drita pareva soffrire della lontananza dalla sua famiglia, ogni tanto si rintanava nel letto e pianqeva, ma Antonio Damis la sapeva consolare, la stringeva forte a se, la convinceva dei vantaggi della nuova vita, della libertà e del benessere conquistati
con le proprie forze. «Non ci manca nulla, » le diceva «e le nostre famiglie capiscono la nostra scelta, ci aspettano e prima o poi le rivedremo, andremo assieme a Tirana, a Hora. »[...]
Quando'nacque Laura, la loro puparella, come la chiamava con affetto il padre, cominciarono entrambi a sentire Amsterdam più familiare: entrarono in contatto con l'asilo poi con le scuole, con gli insegnanti, con i compagni della puparella, con famiglie olandesi e straniere. Con il tempo impararono abbastanza bene l'olandese e Drita utilizzò al meglio le sue competenze da ballerina, organizzando corsi di danze
balcaniche in una palestra, mentre Antonio fu assunto da un ente scolastico italiano che cercava un segretario diplomato in ragioneria. Cosi traslocarono in una casa più qrande e più vicina al centro della città.
Erano persone in gamba, i suoi genitori, ha detto Laura con orgoglio, e lei aveva vissuto un'infanzia felice, parlando con loro un miscuglio di arberesh e albanese e fuori di casa l'olandese, imparando col padre l'italiano, il tutto con naturalezza, senza grossi problemi.
Poi però il primo giorno delle vacanze lunghe, alla fine della quarta elementare, aveva chiesto a bruciapelo (2) ai genitori : «Perché noi non andiamo mai in vacanza nei vostri paesi? ». Sentiva all'improvviso una voglia incontenibile di conoscere quei posti forse perché vedeva le famiglie di molti suoi amici partire ogni estate verso il Sud o perché riaffiorava dalla sua memoria più profonda la nostalgia, non tantodi
luoghi che non aveva mai visitato, quanto di nomi a lei familiari : Hora, Shqiperia, Tirane, Italia, Calabria, Arberìa, la prima Hora.
Da quel momento i suoi genitori, soprattutto il padre che era un grande affabulatore, le avevano raccontato la loro vita, pezzo dopo pezzo, a spizzichi, a frammenti, a mozziconi (3), perché le sue fragili spalle da bambina non avrebbero retto (4) il peso dell'intera storia. A Laura era sembrata una fiaba a lieto fine, con i suoi genitori che si volevano bene davvero (di questo era certa) e che ora [...] vivevano finalmente felici e contenti.
Carmine ABATE, // mosaico del tempo grande, 2006

(1 ) i profughi = les réfugiés
(2) a bruciapelo = à brûle-pourpoint
(3) a mozziconi = par petits bouts
(4) retto = supporté





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Modifié par olivia07 le 26-06-2009 13:33


Réponse: [Italien]Une intégration réussie de olivia07, postée le 26-06-2009 à 13:32:44 (S | E)

Voilà! J'ai essayé de traduire ce texte:

Laura parlait de Amsterdam, où ses parents étaient arrivés sans connaître personne et, avec quatre sous et une carte d’identité fausse, ils avaient loué un petit appartement. Au début, cela avait été plus facile que prévu. Ils ne s’étaient pas sentis traqués, en fuite, réfugiés, mais simplement émigrants en recherche de travail. Un travail qu’ils avaient trouvé, ensemble, dans la même usine d’électronique et, bien que n’étant pas habitués aux activités manuelles, ils ne s’étaient jamais lamenté;  le salaire étaient bon, ils pouvaient se construire une nouvelle vie, un futur digne, en oubliant le passé. Nostalgie ? Seule Drita semblait souffrir de l’éloignement de sa famille,  de temps en temps, elle se terrait dans son lit et elle pleurait, mais Antonio Damis savait la consoler, il la serrait très fort contre lui, la convainquait des avantages de la nouvelle vie, de la liberté et du bien –être conquis avec leurs propres forces. « Il ne nous manque rien », lui disait-il, et nos familles comprennent notre choix, ils nous attendent, et tôt ou tard, nous les reverrons, nous irons ensemble à Tirana, à Hora...
Quand Laura naquit, leur petite poupée, comme l’appelait affectueusement son père, ils commencèrent ensemble à ressentir Amsterdam plus familière : ils entrèrent en contact avec la crèche, puis avec l’école, puis avec les enseignants, avec les camarades de la petite, avec les familles hollandaises et étrangères. Avec le temps, ils apprirent assez bien le hollandais et Drita utilisa au mieux ses compétences de danseuse, en organisant des cours de danses des Balkans dans une salle de gym, alors que Antonio fut engagé dans un organisme scolaire italien qui cherchait un secrétaire diplômé en comptabilité. Ainsi, ils déménagèrent dans une maison plus grande et plus proche du centre de la ville.
C’étaient des personnes qui se débrouillaient bien, ses parents, disait Laura avec orgueil, et elle avait eu une enfance heureuse,  parlant avec eux un mélange de dialecte arberien et d’albanais, et en dehors de chez elle, le hollandais, apprenant l’italien avec son père, le tout avec naturel, sans de gros problèmes.
Cependant, le premier jour des grandes vacances, à la fin de la 4ème année de l’école élémentaire, elle avait demandé à brûle-pourpoint à ses parents : « Pourquoi n’allons nous donc jamais en vacances dans vos pays ? « Elle sentait soudain une envie difficile à contenir de connaître ces endroits, peut-être parce qu’elle voyait les familles de beaucoup de ses amis partir chaque été vers le Sud ou parce que la nostalgie émergeait de sa mémoire la plus profonde, pas tant des lieux qu’elle n’avait jamais visités, que des noms qui lui étaient familiers : Hora, Shqipëria, Tiranë, Italia, Calabria, Arbëria, la première Hora.
De ce moment-là , ses parents , surtout son père qui était un grand affabulateur, lui avaient raconté leur vie, morceau après morceau, par bribes, par fragments, par petits bouts, parce que ses pauvres épaules fragiles de fillette n’auraient pas supporté le poids de l’histoire entière. Il semblait à Laura que c’était une fable qui se terminait bien, avec ses parents qui s’aimaient beaucoup (de cela, elle était certaine) et que maintenant... ils vivaient finalement heureux et contents.



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Modifié par olivia07 le 26-06-2009 17:58


Réponse: [Italien]Une intégration réussie de anonyme, postée le 26-06-2009 à 16:53:30 (S | E)
Bonne traduction, olivia07, et juste une observation : finalmente se traduit par enfin et non par finalement qui est traduit par infine ou par in definitiva. Il y a entre ces deux expressions une nuance dans le sens ... Mais peut-être les langues évoluant il en sera de finalmente comme de futur qui n'est à l'origine qu'un adjectif qualificatif et devient un substantif par glissement sémantique inspiré de futur (mot anglais qui se traduit normalement par avenir).
Bien cordialement à vous.

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Modifié par anonyme le 26-06-2009 16:54


Réponse: [Italien]Une intégration réussie de olivia07, postée le 26-06-2009 à 17:15:59 (S | E)
anonyme. J'ai noté ces remarques.
J'ai répondu aussi aux questions de l'épreuve. Mais je risque fort d'avoir fait des erreurs de formulation. Je serais contente si quelqu'un pouvait me les corriger.
Il ne restera que la dernière épreuve à faire; peut-être inspirera t-elle un membre de ce site? Je vous la mets sous mes réponses.



I - COMPRÉHENSION
1. Chi sono i personaggi ? Cita dal testo.
2. Cita i luoghi dove vivono e da dove vengono.
3. Cita quattro elementi che indicano la loro situazione al loro arrivo.
4. Cita gli aspetti positivi e gli aspetti negativi della loro nuova vita.
5. Quali ricordi conserva Laura della sua infanzia ? Giustifica con elementi del testo.
6. Laura prova il bisogno di conoscere il paese d'origine dei suoi genitori ?Giustifica con elementi del testo

Mes réponses:

1- I personaggi sono Laura e i suoi genitori, Drita e Antonio Damis.
2- Vivono a Amsterdam, all’inizio un piccolo appartamento nella periferia della città. Poi, in una casa più grande e più vicina al centro della città.
3- Sono arrivati senza conoscere nessuno, con quattro soldi e una carta d’identità falsa ; dovevano cercare un lavoro.
4- Gli aspetti negativi : abitavano un piccolo appartamento ; erano lontano dalle loro famiglie ; non conoscono la lingua olandese.
Gli aspetti positivi : hanno trovato un buon lavoro con un buono salario, hanno la libertà di farsi una nuova vita .
5- Laura dice che ha avuto un’infanzia felice, con genitori in gamba, che si volevano bene. Ricorda che parlavano parecche lingue, un miscuglio di arbëresh e d’albenese, d’olandese fuori di casa, d’italiano con il padre, il tutto con naturalezza. La vita dei suoi genitori le sembrava essere una fiaba a lieto fine.
6-Laura sentiva una voglia incontenibile di conoscere il paese d’origine dei suoi genitori. Forse perché vedeva le famiglie delle sue amiche partire ogni estate verso il Sud ; o forse perché riaffiorava dalla sua memoria più profonda la nostalgia per quanto rigarda i nomi familiari dei paesi i cui parlavano i suoi genitori.

Dernière épreuve:
II - EXPRESSION
Le candidat traitera au choix l'un des deux sujets suivants (18 lignes de 10 mots sont demandées) :

1 - Expression semi-guidée :
Laura è diventata grande. Il padre decide di spiegarle le ragioni per cui è emigrato dall'Italia.
2 - Expression libre :
Secondo te, quali sono i vantaggi di appartenere a una famiglia multiculturale ?Argomenta con esempi concreti.




Réponse: [Italien]Une intégration réussie de rita12, postée le 26-06-2009 à 17:45:04 (S | E)
Ciao,

voici ma traduction, les questions je les ferai après 21h.


Une intégration réussie:

Laura parlait d'Amsterdam, où ses parents étaient arrivés ne connaissant personne avec quatre sous en poche et une fausse carte d'identité: ils avaient loué un petit appartement.
Les débuts avaient été plus faciles que prévus: Ils ne s'étaient pas sentis traqués, fuyards, réfugiés mais simplement émigrés à la recherche de travail qu'ils avaient trouvé en même temps, dans la même entreprise d'électronique, et, sans être habitués aux activités manuelles ils ne s'étaient jamais lamentés . Avec un bon salaire ils pouvaient se construire une nouvelle vie, un futur digne et oublier le passé. Nostalgie ? Drita seule, paraissait souffrir de l'éloignement de sa famille, de temps en temps elle se terrait dans le lit et pleurait, mais Antonio Damis savait la consoler, il la serrait très fort contre lui, la convainquait des avantages de la nouvelle vie, de la liberté et du bienêtre conquis avec sa volonté. " Il ne nous manque rien " disait-il " et nos familles comprennent notre choix, ils nous attendent, un jours ou l'autre nous les reverrons, nous irons ensembles à Tirana, Hora...
Lorsque naquit Laura 'leur poupée' comme l'appelait avec affection son père, ils commencèrent à se sentir plus à l'aise à Amsterdam. Ils prirent contact avec la maternelle puis les écoles, les enseignants, les copains de 'leur poupée', des familles hollandaises, ou étrangères. Avec le temps ils connurent suffisamment bien le hollandais et Drita utilisa mieux ses compétences de danseuse organisant des cours de danse balkanique dans une salle et parallèlement Antonio fut engagé dans une administration scolaire qui cherchait un secrétaire diplômé en comptabilité. Bientôt ils déménagèrent dans une maison plus grande et proche du centre ville.
Ses parents étaient des personnes dynamiques nous dit Laura avec fierté. Elle avait vécu une vie heureuse dans un mélange d'arabesh et albanais à la maison, au dehors le hollandais, apprenant l'italien avec son père dans la simplicité sans problème.
Cependant, un jour à l'approche de longues vacances fin de 4ème élémentaire elle avait demandé à brûle-pourpoint à ses parents "pourquoi nous n'allons jamais en vacances dans vos pays? " Elle sentit brusquement un désir irrépressible de connaître ces pays, peut-être parce-qu'elle voyait les familles de beaucoup de ses amies partir chaque été vers le sud ou peut-être parce-que venait en surface de sa mémoire la plus profonde la nostalgie pas tellement des lieux jamais visités mais des noms qui lui étaient familiers: Hora, Shqiberia, Tirana, Italia, Calabria, Arberia la prima Hora.
Dès lors, ses parents, en particulier son père qui était affabulateur lui avaient raconté leur vie peu à peu, par bribes, fragments, petits bouts parce-que ses fragiles épaules d'enfant n'auraient pas supporté le poids de l'histoire dans son intégralité.
Laura semblait avoir enregistré une belle fable et avec des parents qui s'adoraient (oui de cela elle était sûre) ils vivaient heureux, joyeux.

J'ajoute les réponses aux questions, j'espère que je ne vais pas avoir de problèmes:

La storia è racontata da Laura figlia di una coppia Drita e Antonio Damis arrivati in Olanda a Amsterdam precisamente senza soldi con una falsa carta d'identità e non conoscono nessuno. Affittano un piccolo appartamente. Qualche tempo dopo nasce Laura.
Gli aspetti positivi per questa famiglia è prima di tutto:vivere liberi e decidere indipendenti il destino, si addattano al nuovo paese, imparano la lingua, si fanno un posto interessante e si trasferiscono in una casa confortevole. Fanno anche conoscenze con insegnanti, compagne della figlia, Olandesi e stranièri ma la privazione dell'affezione della famiglia manca molto a Drita "che si terra nel suo letto e piange". Hanno anche dovuto cominciare tutto a zero.
I ricordi di Laura della sua infazia sono quelli di una famiglia unita i suoi genitori' si voglione bene ne è sicura' invece del paese dispone di parole : la lingua italiana ricevuta da suo padre, e poi Tirana, Hora, Shqiberia, Italia, Calabria, Arberia






Réponse: [Italien]Une intégration réussie de mondets, postée le 26-06-2009 à 20:07:40 (S | E)

Tocca a mi! (à mon tour!)

Une intégration réussie

Laura parlait d’ Amsterdam, où ses parents étaient arrivés sans connaître personne, quatre sous et une fausse carte d’identité en poche, ils avaient loué un petit appartement. Au début cela avait été plus facile que prévu. Ils ne s’étaient pas sentis bousculés, fugitifs, refugiés, mais simples émigrants à la recherche de travail. Car ils avaient trouvé, ensemble, dans la même usine d’ électronique et, bien qu’ils ne soient pas habitués aux travaux manuels, ils ne s’étaient jamais plaints, le salaire était bon, ils pouvaient bâtir une nouvelle vie, un futur digne, oubliant le passé. Nostalgie ? Drita paraissait seulement souffrir de l’ éloignement de sa famille, quelquefois elle s’enfouissait dans son lit et elle pleurait, mais Antonio Damis savait la consoler, il l’étreignait fort contre lui, il la convainquait des avantages de leur nouvelle vie, de la liberté et du bien être conquis par eux-mêmes. « Il n’y manque rien », » lui disait-il « et nos familles comprennent notre choix, ils nous attendent et tôt ou tard nous les reverrons ensemble à Tirana, à Hora. » […]
A la naissance de Laura, leur petite poupée, comme l’appelait affectueusement son père, ils commençèrent tous deux à ressentir Amsterdam plus familière : ils prirent contact avec l’école maternelle, puis avec l’école primaire, avec les enseignants, avec les amis de « petite poupée », avec des familles néerlandaises et étrangères. Avec le temps ils apprirent suffisamment bien le néerlandais et Drita utilisa au mieux ses compétences de ballerine, en organisant des cours de danses des Balkans dans un gymnase, pendant qu’ Antonio était engagé par un organisme scolaire italien qui cherchait un secrétaire diplomatique en comptabilité. Aussi ils emménagèrent dans une maison plus grande et plus proche du centre-ville.
C’étaient des personnes alertes, ses parents, a dit Laura avec fierté, et elle avait vécu une enfance heureuse, en parlant avec eux un mélange d'arbëresh et d’albanais et hors de chez elle le néerlandais, en apprenant avec son père l’italien, le tout simplement, sans gros problèmes.
Puis enfin le premier jour des grandes vacances, à la fin de l’école primaire, elle avait demandé à brûle-pourpoint à ses parents : » Pourquoi nous, nous n’allons jamais en vacances dans vos pays ? ». Elle ressentait soudainement une envie irrésistible de connaître ces lieux, peut-être parce qu’elle voyait les familles de nombre de ses amis partir chaque été vers le Sud ou parce qu’émergeait de nouveau du tréfond de sa mémoire la nostalgie, non tant de lieux qu’elle n’avait jamais vus, que de noms qui lui étaient familiers : Hora, Shqipëria, Tiranë, Italie, Calabre, Arbëria, Hora d’abord.
A partir de ce moment ses parents, notamment son père qui était un grand conteur d’histoires, lui avaient raconté leur vie, bribe après bribe, petit à petit, par lambeaux, par petits bouts, parce que ses fragiles épaules d’enfant n’auraient pas supporté le poids de toute l’histoire. Pour Laura cela ressemblait à un conte au dénouement heureux, avec ses parents qui s'aimaient vraiment (de cela elle était sûre) et qui maintenant [...] vivaient enfin heureux et contents.

Carmine ABATE

 



1. Chi sono i personaggi ? Cita dal testo. Ci sono tre personaggi principali : Laura, la figlia soprannominata con affetto « puparella « dal padre, e i suoi genitori,; : la madre che si chiama Drita e il padre Antonio Damis.

2. Cita i luoghi dove vivono e da dove vengono.I genitori vengono di dall'Albania e sono venuti installarsi ad Amsterdam, nei Paesi Bassi per trovare lavoro ; qui nacque la loro figlia Laura.

3. Cita quattro elementi che indicano la loro situazione al loro arrivo.
Erano poveri (con quattro soldi ), erano emigranti clandestini (una carta d’identità falsa), non conoscevano nessuno a Amsterdam (senza conoscere nessuno) e vivono vivevano in un appartamento affito in affitto (avevano preso in affitto un piccolo appartamento).

4. Cita gli aspetti positivi e gli aspetti negativi della loro nuova vita.
Tra gli aspetti positivi, possiamo citare il lavoro che non ne avevano in nel loro paese, della libertà, del meglioramento miglioramento delle loro condizioni di vita, grazie al loro lavoro, con la perspettiva prospettiva di bastire imbastire qui una vita più felice per loro ma anche per la loro figlia, e che la loro integrazione che riuscisce riuscisse.
Invece ci sono anche degli svantaggi : la madre soffre della lontananza dalla sua famiglia. Laura non vede mai la sua famiglia, rimasta al nel paese dei suoi genitori.


5. Quali ricordi conserva Laura della sua infanzia ? Giustifica con elementi del testo.La mescolanza delle lingue ; l’italiano che gli imparava insegnava suo padre, l’albanese e l’arbarësh que che sentiva a casa, il neerlandese alla a scuola e che parlava con i suoi amici. Son desirio Il suo desiderio di conoscere il paese dei suoi genitori. L’amore che unisceva univa suo padre e sua madre.


6. Laura prova il bisogno di conoscere il paese d'origine dei suoi genitori ? Giustifica con elementi del testo.
Quando i suoi compani compagni andavano visitare le loro famiglie nel Sud, la ragazzina chiedeva ai suoi genitori : «Perché noi non andiamo mai in vacanza nei vostri paesi d'origine ? ». I nomi di luogo dei luoghi del paese di origine di suoi genitori gli le sono familiari ( quanto di nomi a lei familiari : Hora, Shqipëria, Tiranë, Italia, Calabria, Arbëria, la prima Hora).


 


Un grand merci à marjna pour les corrections!



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Modifié par mondets le 18-09-2009 18:26


Réponse: [Italien]Une intégration réussie de dimitridu43, postée le 16-09-2009 à 19:50:51 (S | E)
voilà une idée qui me traversait la tête :


UN’INTEGRAZIONE NON COSÌ RIUSCITA


-Non posso più sopportarvi ! espettorava Laura. Il segreto ! Ne ho abbastanza del segreto ! Misteri, mensogne, non immagini nemmeno quanto mi pesa di sapere niente sui miei radici, su la mia famiglia…

Laura piangeva tanto che il padre era venuto vicino a lei, rispondendola :

-Laura, voglio che spiega ? Dunque vado a dirti la tua preziosa spiegazione. Tempo fa, era in Albania un governo tanto corrotto : il communismo.

-La dittatura di Enver Hoxha. Quaranta-quattro anni di poverta e di autoritarismo.

-Sì, bravissimo. Ma se l’Italia e la Francia non si oppongono, il Regno Unito e l’America hanno cercato di abbattere il potere.
Il « projet valuable » è nato con questa missione. Ero spia per e… contro questa azione. In fatto, ho aiuto il despota con l’URSS e, dopo cinque anni, abbiamo vinto la minaccia dell’Occidente. Era un errore. Gli Stati Uniti sono partito alla mia ricerca quando hanno scoprito gli altarini.

-Sei il più famoso traditore della guerra fredda !

-Kim Philby ! agiungeva il padre. Non conosco Hora, non conosco l’Italia ! Il tuo sangue è albanese.

-E mamma ? Traditrice ? Spia ? Che cosa ? Sicaria ? Assassina ?

-Tua madre ha sfuggito la guerra del Kosovo. L’ho incontrato ad Amsterdam. Abbiamo mentito per soppravivere, rifare la nostra vita, lontano della miseria. Perdoname Laura.




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