Correction : le locavorisme
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Message de kimrodriguez posté le 17-04-2020 à 16:12:51 (S | E | F)
Bonjour,
je suis entrain de faire un travail pour l'école. ma langue materne n'est pas le français et j'ai mal à m'exprimer lorsque je dois écrire un texte. je voudrais que quelqu'un me guide dans la correction de mon texte.
Merci d'avance!
Le locavorisme est un mouvement de plus en plus suivi par beaucoup de personnes qui optent pour une consommation plus saine et respectueuse avec l’environnement, puisqu’être locavore signifie connaître d’où vient ce que nous consommons et respecter la saisonnalité des fruits et légumes et l’environnement avec la réduction des émissions de CO2, ainsi que le soutient aux petits producteurs régionaux.
Le principe du locavorisme est de consommer les aliments produits dans un rayon de 250 km. Néanmoins, il existe « l’exception de Marco Polo » pour laquelle certains produits venus d’ailleurs comme le chocolat, le café ou les fruits exotiques dont l’accès n’est pas possible.
Sans l’intervention des grandes surfaces, la production des aliments devienne plus humaine. Ceux qui la défendent la considèrent la meilleure manière de mieux se nourrir tout en encourageant les circuits courts. Néanmoins, ses détracteurs la considèrent comme une mode sans aucune logique.
Cette divergence des opinions s’explique pour la tendance extrémiste de certains locavores qui font de ce mouvement inviable à moyen terme, ce qui rend le « locavorisme » une mode.
Or, cette divergence n’a aucun effet sur l’augmentation des adeptes à ce mouvement. Les scandales alimentaires (la vache folle, la grippe aviaire) entraînent des effets négatifs pour la production industrielle. Par conséquence, les consommateurs se tournent de plus en plus vers la production locale. Même la consommation bio est en train de ralentir, puisque la plupart des produits « bio » sont beaucoup plus chère. En plus, un produit « Bio » n’est pas toujours synonyme d’un aliment plus saine qu’un produit local. Certains activistes comme Bernard Clavière, considèrent que ces produits engendrent une importante empreinte écologique lié au transport et aussi aux conditions qui sont utilisé dans certaines pays pour sa production ou la récolte dans le cas des fruits et légumes.
Message de kimrodriguez posté le 17-04-2020 à 16:12:51 (S | E | F)
Bonjour,
je suis entrain de faire un travail pour l'école. ma langue materne n'est pas le français et j'ai mal à m'exprimer lorsque je dois écrire un texte. je voudrais que quelqu'un me guide dans la correction de mon texte.
Merci d'avance!
Le locavorisme est un mouvement de plus en plus suivi par beaucoup de personnes qui optent pour une consommation plus saine et respectueuse avec l’environnement, puisqu’être locavore signifie connaître d’où vient ce que nous consommons et respecter la saisonnalité des fruits et légumes et l’environnement avec la réduction des émissions de CO2, ainsi que le soutient aux petits producteurs régionaux.
Le principe du locavorisme est de consommer les aliments produits dans un rayon de 250 km. Néanmoins, il existe « l’exception de Marco Polo » pour laquelle certains produits venus d’ailleurs comme le chocolat, le café ou les fruits exotiques dont l’accès n’est pas possible.
Sans l’intervention des grandes surfaces, la production des aliments devienne plus humaine. Ceux qui la défendent la considèrent la meilleure manière de mieux se nourrir tout en encourageant les circuits courts. Néanmoins, ses détracteurs la considèrent comme une mode sans aucune logique.
Cette divergence des opinions s’explique pour la tendance extrémiste de certains locavores qui font de ce mouvement inviable à moyen terme, ce qui rend le « locavorisme » une mode.
Or, cette divergence n’a aucun effet sur l’augmentation des adeptes à ce mouvement. Les scandales alimentaires (la vache folle, la grippe aviaire) entraînent des effets négatifs pour la production industrielle. Par conséquence, les consommateurs se tournent de plus en plus vers la production locale. Même la consommation bio est en train de ralentir, puisque la plupart des produits « bio » sont beaucoup plus chère. En plus, un produit « Bio » n’est pas toujours synonyme d’un aliment plus saine qu’un produit local. Certains activistes comme Bernard Clavière, considèrent que ces produits engendrent une importante empreinte écologique lié au transport et aussi aux conditions qui sont utilisé dans certaines pays pour sa production ou la récolte dans le cas des fruits et légumes.
Réponse : Correction : le locavorisme de
alienor64, postée le 17-04-2020 à 18:43:23 (S | E)Bonjour kimredriguez
L'élision : Lien internetLe locavorisme est un mouvement de plus en plus suivi par beaucoup de personnes qui optent pour une consommation plus saine et respectueuse avec
(autre préposition) l’environnement, puisqu’(pas d'élision) être locavore signifie connaître d’où vient ce que nous consommons et respecter la saisonnalité des fruits et légumes et l’environnement avec la réduction des émissions de CO2, ainsi que le soutient(orthographe) aux petits producteurs régionaux.(cette phrase est beaucoup trop longue ; placez-y des ponctuations))Le principe du locavorisme est de consommer les aliments produits dans un rayon de 250
(en lettres)km(pas d'abréviations). Néanmoins, il existe « l’exception de Marco Polo » pour laquelleenlever) certains produits venus d’ailleurs comme le chocolat, le café ou les fruits exotiques dont l’accès n’est pas possible.Sans l’intervention des grandes surfaces, la production des aliments devienne
(autre mode et autre temps : indicatif) plus humaine. Ceux qui la défendent la considèrent (ici, conjonction après 'considérer') la meilleure manière de mieux se nourrir tout en encourageant les circuits courts. Néanmoins, ses détracteurs la considèrent comme une mode sans aucune logique.Cette divergence des
(enlever ; préposition à élider : voir lien sur l'élision) opinions s’explique pour(autre préposition) qui indique la cause) la tendance extrémiste de certains locavores qui font de(conjonction de subordination) ce mouvement (ici, conjuguez 'être') inviable à moyen terme, ce qui rend le(à remplacer par 'faire' + déterminant : contraction de 'de + le') « locavorisme » une mode.Or, cette divergence n’a aucun effet sur l’augmentation des adeptes à
(autre préposition) ce mouvement. Les scandales alimentaires (la vache folle, la grippe aviaire) entraînent des effets négatifs pour la production industrielle. Par conséquence(orthographe de cette locution), les consommateurs se tournent de plus en plus vers la production locale. Même la consommation bio est en train de ralentir, puisque la plupart des produits « bio » sont beaucoup plus chère(erreur d'accord). (minuscule) » n’est pas toujours synonyme d’un aliment plus saine(erreur d'accord) qu’un produit local. Certains activistes comme Bernard Clavière, considèrent que ces produits engendrent une importante empreinte écologique lié(erreur d'accord) au transport et aussi aux conditions qui sont utilisé(erreur d'accord) dans certaines pays pour sa(autre déterminant possessif) production ou la(déterminant possessif) récolte dans le cas des fruits et légumes. N'oubliez pas de nous proposer votre corrigé. Bonne correction
Réponse : Correction : le locavorisme de kimrodriguez, postée le 17-04-2020 à 19:56:39 (S | E)
MERCI BEAUCOUP!! je viens de terminer la correction du texte. J'espère qu'il sera maintenant bien écris
J'ai une petite question, on peut dire " la désicion de manger autrement doit être un choix qui vous rende heureux"??
Je suis entrain de faire un travail pour l'école.Ma langue maternelle n'est pas le français et j'ai du mal à m'exprimer lorsque je dois écrire un texte. Je voudrais que quelqu'un me guide dans la correction de mon texte.
Le locavorisme est un mouvement de plus en plus suivi par beaucoup de personnes qui optent pour une consommation plus saine et respectueuse de l’environnement .Etre locavore signifie connaître d’où vient ce que nous consommons et respecter la saisonnalité des fruits et légumes et l’environnement avec la réduction des émissions de CO2, et le soutien aux petits producteurs régionaux.
Le principe du locavorisme est de consommer les aliments produits dans un rayon de deux cent cinquant kilomètres. Néanmoins, il existe « l’exception de Marco Polo » pour certains produits venus d’ailleurs comme le chocolat, le café ou les fruits exotiques dont l’accès n’est pas possible.
Sans l’intervention des grandes surfaces, la production des aliments devient plus humaine. Ceux qui la défendent la considèrent donc la meilleure manière de mieux se nourrir tout en encourageant les circuits courts. Néanmoins, ses détracteurs la considèrent comme une mode sans aucune logique.
Cette divergence d' opinions s’explique en raison de la tendance extrémiste de certains locavores qui font que ce mouvement soit inviable à moyen terme, ce qui fait du « locavorisme » une mode.
Or, cette divergence n’a aucun effet sur l’augmentation des adeptes de ce mouvement. Les scandales alimentaires (la vache folle, la grippe aviaire) entraînent des effets négatifs pour la production industrielle. Par conséquent, les consommateurs se tournent de plus en plus vers la production locale. Même la consommation bio est en train de ralentir, puisque la plupart des produits « bio » sont beaucoup plus chers(erreur d'accord). En plus, un produit « bio » n’est pas toujours synonyme d’un aliment plus sain qu’un produit local. Certains activistes comme Bernard Clavière, considèrent que ces produits engendrent une importante empreinte écologique liée au transport et aussi aux conditions qui sont utilisées dans certaines pays pour leur production ou leur récolte dans le cas des fruits et légumes.
Réponse : Correction : le locavorisme de
alienor64, postée le 18-04-2020 à 00:45:55 (S | E)Bonsoir kimrodriguez
J'espère qu'il sera maintenant bien écris
(participe passé : écrit + point en fin de phrase)J'ai une petite question, on peut dire
(forme interrogative : peut-on dire : )" la désicion(orthographe : décision) de manger autrement doit être un choix qui vous rende(oui, le subjonctif exprime un souhait) heureux"??(un seul point d'interrogation suffit) Ponctuation et espaces : Lien internetL'écriture des nombres : Lien internet
Considérer : Lien internet
Le locavorisme est un mouvement de plus en plus suivi par beaucoup de personnes qui optent pour une consommation plus saine et respectueuse de l'environnement
(erreur d'espaces : voir lien).Etre(accent circonflexe) locavore signifie connaître d'où vient ce que nous consommons et respecter la saisonnalité des fruits et légumes et l'environnement avec la réduction des émissions de CO2, et le soutien aux petits producteurs régionaux.Le principe du locavorisme est de consommer les aliments produits dans un rayon de deux cent cinquant
(orthographe + trait d'union : voir lien) kilomètres. Néanmoins, il existe « l'exception de Marco Polo » pour certains produits venus d'ailleurs comme le chocolat, le café ou les fruits exotiques dont l'accès n'est pas possible.Sans l'intervention des grandes surfaces
(en fin de phrase), la production des aliments devient plus humaine. Ceux qui la défendent la considèrent donc(autre conjonction quand 'considérer' a le sens de 'juger' : voir lien) la meilleure manière de mieux se nourrir tout en encourageant les circuits courts. Néanmoins, ses détracteurs la considèrent comme(à remplacer par 'tenir pour' pour éviter une répétition, sans en changer le sens) une mode sans aucune logique.Cette divergence d'
(pas d'espace) opinions s'explique en raison de(enlever ; mettre la préposition qui indique la raison, l'origine - elle indique aussi le moyen, l'agent) la tendance extrémiste de certains locavores qui font que(enlever ; conjuguer 'pouvoir rendre' au futur) ce mouvement soit(enlever) inviable à moyen terme, ce qui fait du « locavorisme » une mode.Or, cette divergence n'a aucun effet sur l'augmentation des adeptes de ce mouvement. Les scandales alimentaires (la vache folle, la grippe aviaire) entraînent des effets négatifs pour la production industrielle. Par conséquent, les consommateurs se tournent de plus en plus vers la production locale. Même la consommation bio est en train de ralentir, puisque la plupart des produits « bio » sont beaucoup plus chers(erreur d'accord)
(merci de ne pas recopier mes indications !). En(voir correction précédente) plus, un produit « bio » n'est pas toujours synonyme d'un(enlever) aliment plus sain qu'un produit local. Certains activistes comme Bernard Clavière,(pas de virgule) considèrent que ces produits engendrent une importante empreinte écologique liée au transport et aussi aux conditions(autre nom : 'moyens', car on utilise des moyens, mais on n'utilise pas des conditions ; n'oubliez pas d'accorder le participe passé)) qui sont(enlever) utilisées dans certaines(accord) pays pour leur production ou leur récolte dans le cas des fruits et légumes.Bonne soirée
Réponse : Correction : le locavorisme de kimrodriguez, postée le 19-04-2020 à 11:31:48 (S | E)
Bonjour, je suis désolée pour le retard, je travaille à la correction de mon texte. C'est un long texte, et j'essaie de le corriguer moi-même a fin de travailler mon français au fur et à mesure que je comprends et étude mes fautes.
J'ai essayé de le corriguer avec soin en raisonant sur chaque faute :
J'espère qu'il sera maintenant bien écrit.
J'ai une petite question, peut-on dire : " la décision de manger autrement doit être un choix qui vous rende heureux " ?.
=> pour cette phrase j'avais pensé de dire : " la décision de manger autrement doit vous rendre heureux ".
Le locavorisme est un mouvement de plus en plus suivi par beaucoup de personnes qui optent pour une consommation plus saine et respectueuse de l'environnement. Être locavore signifie connaître d'où vient ce que nous consommons et respecter la saisonnalité des fruits et légumes et l'environnement avec la réduction des émissions de CO2, et le soutien aux petits producteurs régionaux.
Le principe du locavorisme est de consommer les aliments produits dans un rayon de deux-cent-cinquante kilomètres. Néanmoins, il existe « l'exception de Marco Polo » pour certains produits venus d'ailleurs comme le chocolat, le café ou les fruits exotiques dont l'accès n'est pas possible.
la production des aliments devient plus humaine sans l'intervention des grandes surfaces. Ceux qui la défendent la considèrent comme la meilleure manière de mieux se nourrir tout en encourageant les circuits courts. Néanmoins, ses détracteurs la tiennent pour une mode sans aucune logique.
Cette divergence d'opinions s'explique par la tendance extrémiste de certains locavores qui pourront rendre ce mouvement inviable à moyen terme, ce qui fait du « locavorisme » une mode.
Or, cette divergence n'a aucun effet sur l'augmentation des adeptes de ce mouvement. Les scandales alimentaires (la vache folle, la grippe aviaire) entraînent des effets négatifs pour la production industrielle. Par conséquent, les consommateurs se tournent de plus en plus vers la production locale. Même la consommation bio est en train de ralentir, puisque la plupart des produits « bio » sont beaucoup plus chers. De plus, un produit « bio » n'est pas toujours synonyme d'aliment plus sain qu'un produit local. Certains activistes comme Bernard Clavière considèrent que ces produits engendrent une importante empreinte écologique liée au transport et aussi aux moyens utilisés dans certains pays pour leur production ou leur récolte dans le cas des fruits et légumes.
Merci beaucoup de m'aider
Comme j'ai dis avant, j'ai essayé de corriger un autre partie de mon texte. Je me demande si vous pourriez m'aider.
Réponse : Correction : le locavorisme de kimrodriguez, postée le 19-04-2020 à 12:10:35 (S | E)
Voici l'autre partie :
Bien que la sécurité alimentaire et le changement climatique soient les principales inquiétudes de beaucoup de personnes, l’intervention des grandes multinationales rendent presque impossible s’échapper de leur hégémonie sur la production alimentaire. D’un côté, le consommateur cherche un produit « local », mais de l’autre côté les petits producteurs ne sont pas proches du consommateur, ce qui engendre une problématique. Le consommateur termine par abandonner sa mission sans se rendre compte que le problème se trouve dans la façon d’arriver aux petits producteurs. Les intermédiaires arrivent toujours à occuper l’espace qui existe entre le producteur et le consommateur final.
Un petit producteur n’a pas toujours les moyens pour obtenir un label certifiant la qualité de sa production, et cela empêche que sa production n'accède pas au consommateur final, par rapport aux grandes multinationales.
Certains attaquent au locavorisme ou la production bio comme s'ils s'agissent d'une simple mode de la jeunesse, mais cela pourra s’éviter en favorisant les circuits courts de production et surtout en encourageant aux petits producteurs de s’installer aux alentours des villes.
L’éco-ferme dans les villes et jardins :
De nos jours, les initiatives écologiques ne cessent de se multiplier dans le monde, mais la France et l’Angleterre sont les plus avancées.
Je voudrais vous montrer comme ces deux pays ont mis en place la présence de la campagne en villes.
• La France
Avec le statut de première puissance, il semblerait que les agriculteurs français vivent convenablement de son métier. Néanmoins, ils sont les premiers à subir les aléas économiques, même la violence des organisations écologiques qui les attaquent. Les grandes multinationales sont les seules gagnantes, puisqu’elles ne supportent pas les coûts de la production agricole, et contrôlent complètement le prix d’achat et de vente.
Dans ce contexte des initiatives visées à la protection des petits exploitants ont vues le jour.
Un exemple est le réseau « Terres en villes » à Paris, dont le principe est la connexion de la ville avec la production agricole avec la création des jardins urbains. L’agriculture urbaine a favorisé la rencontre entre les personnes et aussi a permis la participation des consommateurs dans la production agricole. Certaines organisations ont utilisé ce mouvement pour faciliter l’épanouissement des personnes vivant dans la précarité.
• L’Angleterre
Ayant comme principe la lutte contre la mal bouffe et la précarité, l’agriculture urbaine s’été étendue dans le pays. Bristol, par exemple, a été élue « capital verte » en 2015.
La population anglaise prend de plus en plus conscience de la sécurité alimentaire et du rôle économique et sociale du développement durable. Le réseau « Bristol Food Producer », en est un exemple. Ce réseau met en avant le circuit court de production, il apporte les outils nécessaires aux personnes ayant envie de participer à la production locale, avec des effets positives comme la création d’emplois dans de petites régions dont l’économie est plus faible.
Je crois que le développement de ce type d’initiatives dans le reste de l’Europe serait une incroyable révolution dans le système de consommation et aiderait aussi aux entrepreneurs voulant participer au monde de l’agroalimentaire, et en outre, cela aurait des effets positifs sur la santé de la population, et l'environnement.
Merci d'avance.
Réponse : Correction : le locavorisme de
alienor64, postée le 20-04-2020 à 01:40:21 (S | E)Bonsoir kimrodriguez
'... je suis désolée pour le retard, je travaille à la correction de mon texte. C'est un long texte, et j'essaie de le
J'ai essayé de le
J'ai une petite question, peut-on dire : " la décision de manger autrement doit être un choix qui vous rende heureux " ?.
=> pour cette phrase j'avais pensé
Cette phrase est préférable. Comme j'ai
Verbes impersonnels : Lien internetVoix active et voix passive : Lien internet
Bien que la sécurité alimentaire et le changement climatique soient les principales inquiétudes de
(autre préposition) beaucoup de personnes, l'intervention des grandes multinationales rendent(sujet : l'intervention) presque impossible s'échapper de(ici, ce verbe n'est pas à la forme pronominale ; il doit être précédé d'une préposition élidée et suivi d'une autre préposition) de(autre préposition) leur hégémonie sur la production alimentaire. D'un côté, le consommateur cherche un produit « local », mais de l'autre côté les petits producteurs ne sont pas proches du consommateur, ce qui engendre une problématique. Le consommateur termine(autre verbe : 'finir') par abandonner sa mission sans se rendre compte que le problème se trouve dans la façon d’arriver(autre verbe pour mieux exprimer votre idée) aux petits producteurs. Les intermédiaires arrivent toujours à occuper l’espace qui existe entre le producteur et le consommateur final(enlever + point en fin de phrase)Un petit producteur n'a pas toujours les moyens pour
(autre préposition à élider) obtenir un label certifiant la qualité de sa production, et cela (pronom personnel COD) empêche que(enlever) sa production(enlever) n'accède pas(verbe à l'infinitif précédé d'une préposition élidée) au consommateur final(enlever), par rapport(à remplacer par un adverbe qui indique une opposition) aux grandes multinationales.Certains attaquent au
(déterminant défini) locavorisme ou la production bio comme s'ils agissent(autre temps : imparfait + forme impersonnelle du verbe 'agir' avec le pronom neutre 'il' : voir lien) d'une simple mode de la(enlever) jeunesse, mais cela pourra s'éviter(enlever le pronom réfléchi et mettre 'éviter' à l'infinitif voix passive : voir lien) en favorisant les circuits courts de production et surtout en encourageant aux(déterminant défini car 'encourager' est transitif, donc directement suivi d'un COD) petits producteurs de(autre préposition) s'installer aux alentours des villes.L'éco-ferme dans les villes et jardins :
De nos jours, les initioatives
(orthographe) écologiques ne cessent de se multiplier dans le monde, mais la France et l'Angleterre sont les plus avancées.('les plus avancées' par rapport à quoi ? Vous devez construire un superlatif en incluant le mot 'pays') Je voudrais vous montrer comme
(adverbe interrogatif pour cette interrogation indirecte) ces deux pays ont mis en place la présence de la campagne en((préposition + déterminant défini) villes.? La France
Avec le statut de première puissance
(vous parlez de la France : c'est donc elle qui doit être sujet de la phrase, non 'les agriculteurs français' ; à reformuler avec une autre construction) , il semblerait que les agriculteurs français vivent convenablement de son(autre déterminant possessif) métier. Néanmoins, ils sont les premiers à subir les aléas économiques,(virgule à remplacer par une conjonction de coordination) même la violence des organisations écologiques qui les attaquent(enlever). Les grandes multinationales sont les seules gagnantes, puisqu'elles ne supportent pas les coûts de la production agricole,(pas de virgule) et contrôlent complètement le(pluriel) prix d'achat et de vente.Dans ce contexte(virgule) des initiatives visées
(participe présent de 'viser') à la protection des petits exploitants ont vues(participe passé invariable, car 'voir le jour' ne peut pas avoir de COD) le jour.Un exemple est le réseau « Terres en villes
(pluriel ? Mieux : singulier, à moins que ce soit l'orthographe correcte du nom de ce réseau) » à Paris, dont le principe est la connexion de la ville avec la production agricole avec(autre préposition indiquant le moyen) la création des(préposition) jardins urbains. L'agriculture urbaine a favorisé la rencontre entre les personnes et aussi(enlever) a permis la participation des consommateurs dans(autre préposition) la production agricole. Certaines organisations ont utilisé ce mouvement pour faciliter l'épanouissement des personnes vivant dans la précarité.? L'Angleterre
Ayant comme principe la lutte contre la mal bouffe
(en un seul mot ; terme familier)) et la précarité, l'agriculture urbaine s'été(présent de l'indicatif) étendue dans le pays. Bristol, par exemple, a été élue « capital(orthographe : nom féminin) verte » en 2015.La population anglaise prend de plus en plus conscience de la sécurité alimentaire et du rôle économique et sociale
(accord avec 'rôle') du développement durable. Le réseau « Bristol Food Producer »,(pas de virgule) en est un exemple. Ce réseau met en avant le circuit court de production, il apporte les outils nécessaires aux personnes ayant envie de participer à la production locale, avec des effets positives(accord avec 'effets') comme la création d'emplois dans de petites régions dont l'économie est plus faible.Je crois que le développement de ce type d'initiatives dans le reste de l'Europe serait une incroyable révolution dans le système de consommation et aiderait aussi aux
(déterminant défini : 'aider' est transitif, donc non suivi de préposition, car 'aux' est la contraction d'une préposition et d'un déterminant) entrepreneurs voulant participer au monde de l'agroalimentaire,(autre ponctuation : point-virgule) et(enlever) en outre, cela aurait des effets positifs sur la santé de la population,(pas de virgule) et (ici, préposition) l'environnement.Bonne correction
Réponse : Correction : le locavorisme de kimrodriguez, postée le 23-04-2020 à 14:09:55 (S | E)
Bonjour,
Je viens de terminer ma correction. J'avais besoin de bien le corriger et surtout pratiquer mes fautes.
J'ai de petites doutes:
* Terres en villes (Oui en pluriel, C’est le nom de l’organisation à Paris)
* Peut-on dire en français : Malgré le statu de première puissance agricole, les agriculteurs, la réalité des agriculteurs ne reflète les résultats du pays.
* Je ne comprends pas l’usage du point-virgule dans cette phrase, pourriez-vous me l’expliquer, s’il vous plaît ?. =>
participer au monde de l'agroalimentaire ; en outre, cela aurait des effets positifs sur la santé de la population.
Ma correction :
Bien que la sécurité alimentaire et le changement climatique soient les principales inquiétudes pour beaucoup de personnes, l'intervention des grandes multinationales rend presque impossible d’en échapper à leur hégémonie sur la production alimentaire. D'un côté, le consommateur cherche un produit « local », mais de l'autre côté les petits producteurs ne sont pas proches du consommateur, ce qui engendre une problématique. Le consommateur finit par abandonner sa mission sans se rendre compte que le problème se trouve dans la façon d’accéder aux petits producteurs. Les intermédiaires arrivent toujours à occuper l’espace qui existe entre le producteur et le consommateur.
Un petit producteur n'a pas toujours les moyens d'obtenir un label certifiant la qualité de sa production, et lui empêche d’accéder au consommateur contrairement aux grandes multinationales.
Certains attaquent le locavorisme ou la production bio comme s'il s’agissait d'une simple mode de jeunesse, mais cela pourra être évité en favorisant les circuits courts de production et surtout en encourageant les petits producteurs à s'installer aux alentours des villes.
L'éco-ferme dans les villes et jardins :
De nos jours, les initiatives écologiques ne cessent de se multiplier dans le monde, mais la France et l'Angleterre sont les pays les plus avancés en Europe par rapport aux autres pays de l’Europe.
Je voudrais vous montrer comment ces deux pays ont mis en place la présence de la campagne dans les villes.
La France
En dépit le statu de première puissance agricole en Europe, la réalité des agriculteurs français est bien différente de celle qui présentent les études macroéconomiques. En effet, ils sont les premiers à subir les aléas économiques et même la violence des organisations. Les grandes multinationales sont les seules gagnantes, puisqu'elles ne supportent pas les coûts de la production agricole et contrôlent complètement les prix d'achat et de vente.
Dans ce contexte, des initiatives visent à la protection des petits exploitants ont vu le jour.
Un exemple est le réseau « Terres en Villes » à Paris, dont le principe est la connexion de la ville avec la production agricole à travers la création de jardins urbains. L'agriculture urbaine a favorisé la rencontre entre les personnes et a permis la participation des consommateurs à la production agricole. Certaines organisations ont utilisé ce mouvement pour faciliter l'épanouissement des personnes vivant dans la précarité.
? L'Angleterre
Ayant comme principe la lutte contre la mauvaise alimentation et la précarité, l'agriculture urbaine s'est étendue dans le pays. Bristol, par exemple, a été élue « capitale verte » en 2015.
La population anglaise prend de plus en plus conscience de la sécurité alimentaire et du rôle économique et social du développement durable. Le réseau « Bristol Food Producer » en est un exemple. Ce réseau met en avant le circuit court de production, il apporte les outils nécessaires aux personnes ayant envie de participer à la production locale, avec des effets positifs comme la création d'emplois dans de petites régions dont l'économie est plus faible.
Je crois que le développement de ce type d'initiatives dans le reste de l'Europe serait une incroyable révolution dans le système de consommation et aiderait aussi les entrepreneurs voulant participer au monde de l'agroalimentaire ; en outre, cela aurait des effets positifs sur la santé de la population et de l'environnement.
Merci beaucoup de m'aider et de m'apprendre à utiliser bien les structures. Je prends note de tout, et je mets en pratique les corrections.
Réponse : Correction : le locavorisme de
alienor64, postée le 23-04-2020 à 15:13:15 (S | E)Bonjour kimrodriguez
Je viens de terminer ma correction. J'avais besoin de bien
J'ai de
* Terres en villes (Oui
* Peut-on dire en français : Malgré le leur
* Je ne comprends pas l'usage du point-virgule dans cette phrase, pourriez-vous me l'expliquer, s'il vous plaît ?. =>
participer au monde de l'agroalimentaire ; en outre, cela aurait des effets positifs sur la santé de la population. Le point-virgule sert à scinder une phrase tout en conservant une relation logique entre les deux segments. Lisez ceci et vous saurez tout ! Lien internet
Ma correction :
Bien que la sécurité alimentaire et le changement climatique soient les principales inquiétudes pour beaucoup de personnes, l'intervention des grandes multinationales rend presque impossible d'en
(enlever : le COI est déjà placé après le verbe, il n'y a donc pas besoin de le remplacer par un pronom) échapper à leur hégémonie sur la production alimentaire. D'un côté, le consommateur cherche un produit « local », mais de l'autre côté les petits producteurs ne sont pas proches du consommateur, ce qui engendre une problématique. Le consommateur finit par abandonner sa mission sans se rendre compte que le problème se trouve dans la façon d'accéder aux petits producteurs. Les intermédiaires arrivent toujours à occuper l'espace qui existe entre le producteur et le consommateur.Un petit producteur n'a pas toujours les moyens d'obtenir un label certifiant la qualité de sa production, et lui
(pronom personnel COD) empêche d'accéder au consommateur contrairement aux grandes multinationales.Certains attaquent le locavorisme ou la production bio comme s'il s'agissait d'une simple mode de jeunesse, mais cela pourra être évité en favorisant les circuits courts de production et surtout en encourageant les petits producteurs à s'installer aux alentours des villes.
L'éco-ferme dans les villes et jardins :
De nos jours, les initiatives écologiques ne cessent de se multiplier dans le monde, mais la France et l'Angleterre sont les pays les plus avancés en Europe
(enlever) par rapport aux autres pays de(préposition à élider) l'(enlever)Europe.Je voudrais vous montrer comment ces deux pays ont mis en place la présence de la campagne dans les villes.
La France
En dépit le
(contraction de la préposition 'de' et du déterminant 'le') statu(orthographe) de première puissance agricole en Europe, la réalité des agriculteurs français est bien différente de celle qui (pronom relatif COD, et non sujet)présentent les études macroéconomiques(cette phrase est reconstruire avec un sujet logique qui désigne 'la première puissance agricole' ; ce ne peut pas être 'la réalité des agriculteurs' ! Voir indications en début de texte). En effet, ils sont les premiers à subir les aléas économiques et même la violence des organisations(quelles organisations ?). Les grandes multinationales sont les seules gagnantes, puisqu'elles ne supportent pas les coûts de la production agricole et contrôlent complètement les prix d'achat et de vente.Dans ce contexte, des initiatives visent
(participe présent) à la protection des petits exploitants ont vu le jour.Un exemple est le réseau « Terres en Villes » à Paris, dont le principe est la connexion de la ville avec la production agricole à travers la création de jardins urbains. L'agriculture urbaine a favorisé la rencontre entre les personnes et a permis la participation des consommateurs à la production agricole. Certaines organisations ont utilisé ce mouvement pour faciliter l'épanouissement des personnes vivant dans la précarité.
? L'Angleterre
Ayant comme principe la lutte contre la mauvaise alimentation et la précarité, l'agriculture urbaine s'est étendue dans le pays. Bristol, par exemple, a été élue « capitale verte » en 2015.
La population anglaise prend de plus en plus conscience de la sécurité alimentaire et du rôle économique et social du développement durable. Le réseau « Bristol Food Producer » en est un exemple. Ce réseau met en avant le circuit court de production, il apporte les outils nécessaires aux personnes ayant envie de participer à la production locale, avec des effets positifs comme la création d'emplois dans de petites régions dont l'économie est plus faible.
Je crois que le développement de ce type d'initiatives dans le reste de l'Europe serait une incroyable révolution dans le système de consommation et aiderait aussi les entrepreneurs voulant participer au monde de l'agroalimentaire ; en outre, cela aurait des effets positifs sur la santé de la population et de
(autre préposition : la même que celle devant 'la santé') l'environnement. Bonne journée
Réponse : Correction : le locavorisme de kimrodriguez, postée le 23-04-2020 à 18:06:50 (S | E)
Je viens de terminer ma nouvelle correction.
J'ai quelques doutes :
* Quelle est- elle la différence entre : les pays les plus riches d'Europe et les pays les plus riches de l'Europe. Pour cette dernière on devra ajouter un nom de plus ? par exemple : les pays les plus riches de l'Europe du Sud ? .
* Je ne comprends pas la construction de la phrase avec le sujet logique. J'ai essayé de savoir comment le faire, j'ai fait des exercices là-dessus. Je ne sais pas si j'ai bien formulé ma phrase cette fois-ci.
* Par Rapport aux organisations : je me suis trompée. En effet, ce sont des défenseurs des animaux ou ceux qui sont opposées aux phytosanitaires. J'ai vu à reportage qui montrait la violence des activistes contre les agriculteurs. C'est pour cette raison que j'avais mis juste le mot " organisations ". Mais je crois que ne sont pas les organisations (en soi) qui envoient les activistes aux exploitations. Bon en réalité, je ne sais pas si c'est comme ça ou pas, j'avais un doute à l'heure de l'écrire. Si vous avez quelque avis ou correction, je voudrais le savoir
. => Voici un article qu'en parle :
« Le monde agricole de plus en plus pris pour cible ». Sur le site : La croi.com. Date de l’article : 10-08-2019
Ma correction :
Bien que la sécurité alimentaire et le changement climatique soient les principales inquiétudes pour beaucoup de personnes, l'intervention des grandes multinationales rend presque impossible d'échapper à leur hégémonie sur la production alimentaire. D'un côté, le consommateur cherche un produit « local », mais de l'autre côté les petits producteurs ne sont pas proches du consommateur, ce qui engendre une problématique. Le consommateur finit par abandonner sa mission sans se rendre compte que le problème se trouve dans la façon d'accéder aux petits producteurs. Les intermédiaires arrivent toujours à occuper l'espace qui existe entre le producteur et le consommateur.
Un petit producteur n'a pas toujours les moyens d'obtenir un label certifiant la qualité de sa production, et l'empêche d'accéder au consommateur contrairement aux grandes multinationales.
Certains attaquent le locavorisme ou la production bio comme s'il s'agissait d'une simple mode de jeunesse, mais cela pourra être évité en favorisant les circuits courts de production et surtout en encourageant les petits producteurs à s'installer aux alentours des villes.
L'éco-ferme dans les villes et jardins :
De nos jours, les initiatives écologiques ne cessent de se multiplier dans le monde, mais la France et l'Angleterre sont les pays les plus avancés par rapport aux autres pays d'Europe.
Je voudrais vous montrer comment ces deux pays ont mis en place la présence de la campagne dans les villes.
La France
En dépit du statut de première puissance agricole en Europe, la réalité est bien différente de celle que présentent les études macroéconomiques. En effet, ils sont les premiers à subir les aléas économiques et même la violence des activistes contraires au système agricole actuel (basé à l'utilisation des phytosanitaires, herbicides, etc.). Les grandes multinationales sont les seules gagnantes, puisqu'elles ne supportent pas les coûts de la production agricole et contrôlent complètement les prix d'achat et de vente.
Dans ce contexte, des initiatives visent (participe présent) à la protection des petits exploitants ont vu le jour.
Réponse : Correction : le locavorisme de
alienor64, postée le 23-04-2020 à 20:28:31 (S | E)bonsoir kimrodriguez
* Quelle est
* Je ne comprends pas la construction de la phrase avec le sujet logique. J'ai essayé de savoir comment le faire, j'ai fait des exercices là-dessus. Je ne sais pas si j'ai bien formulé ma phrase cette fois-ci.
* Par
=> Voici un article qu'en parle :
« Le monde agricole de plus en plus pris pour cible ». Sur le site : La croi.com. Date de l’article : 10-08-2019
Ma correction :
Bien que la sécurité alimentaire et le changement climatique soient les principales inquiétudes pour beaucoup de personnes, l'intervention des grandes multinationales rend presque impossible d'échapper à leur hégémonie sur la production alimentaire. D'un côté, le consommateur cherche un produit « local », mais de l'autre côté les petits producteurs ne sont pas proches du consommateur, ce qui engendre une problématique. Le consommateur finit par abandonner sa mission sans se rendre compte que le problème se trouve dans la façon d'accéder aux petits producteurs. Les intermédiaires arrivent toujours à occuper l'espace qui existe entre le producteur et le consommateur.
Un petit producteur n'a pas toujours les moyens d'obtenir un label certifiant la qualité de sa production, et
(ici, pronom démonstratif neutre) l'empêche d'accéder au consommateur contrairement aux grandes multinationales.Certains attaquent le locavorisme ou la production bio comme s'il s'agissait d'une simple mode de jeunesse, mais cela pourra être évité en favorisant les circuits courts de production et surtout en encourageant les petits producteurs à s'installer aux alentours des villes.
L'éco-ferme dans les villes et jardins :
De nos jours, les initiatives écologiques ne cessent de se multiplier dans le monde, mais la France et l'Angleterre sont les pays les plus avancés par rapport aux autres pays d'Europe.
Je voudrais vous montrer comment ces deux pays ont mis en place la présence de la campagne dans les villes.
La France
En dépit du statut de première puissance agricole en Europe, la réalité est bien différente de celle que présentent les études macroéconomiques. En effet, ils
(que représente ce pronom ?) sont les premiers à subir les aléas économiques et même la violence des activistes contraires(autre mot) au système agricole actuel (basé à(autre préposition ; lisez ceci : Lien internetl'utilisation des phytosanitaires, herbicides, etc.). Les grandes multinationales sont les seules gagnantes, puisqu'elles ne supportent pas les coûts de la production agricole et contrôlent complètement les prix d'achat et de vente.
Dans ce contexte, des initiatives visent (participe présent)
(il faut le participe présent ; 'visent' est la 3e personne du pluriel de 'viser' à l'indicatif présent) à la protection des petits exploitants ont vu le jour.Bonne soirée
Réponse : Correction : le locavorisme de kimrodriguez, postée le 27-04-2020 à 15:35:32 (S | E)
Bonjour alienor64,
Merci beaucoup de me les avoir expliquées.
• Pour la phrase : ils sont les premiers à subir les aléas (…) : je fais référence aux petits producteurs.
* Par rapport à aujouter la localisation, alors si je veux comparer les pays situés au sud de l'Europe, je dois dire : les pays plus (...) de l'Europe du sud ?.
Bien que la sécurité alimentaire et le changement climatique soient les principales inquiétudes pour beaucoup de personnes, l'intervention des grandes multinationales rend presque impossible d'échapper à leur hégémonie sur la production alimentaire. D'un côté, le consommateur cherche un produit « local », mais de l'autre côté les petits producteurs ne sont pas proches du consommateur, ce qui engendre une problématique. Le consommateur finit par abandonner sa mission sans se rendre compte que le problème se trouve dans la façon d'accéder aux petits producteurs. Les intermédiaires arrivent toujours à occuper l'espace qui existe entre le producteur et le consommateur.
Un petit producteur n'a pas toujours les moyens d'obtenir un label certifiant la qualité de sa production, et cela l'empêche d'accéder au consommateur contrairement aux grandes multinationales.
Certains attaquent le locavorisme ou la production bio comme s'il s'agissait d'une simple mode de jeunesse, mais cela pourra être évité en favorisant les circuits courts de production et surtout en encourageant les petits producteurs à s'installer aux alentours des villes.
L'éco-ferme dans les villes et jardins :
De nos jours, les initiatives écologiques ne cessent de se multiplier dans le monde, mais la France et l'Angleterre sont les pays les plus avancés par rapport aux autres pays d'Europe.
Je voudrais vous montrer comment ces deux pays ont mis en place la présence de la campagne dans les villes.
La France
En dépit du statut de première puissance agricole en Europe, la réalité est bien différente de celle que présentent les études macroéconomiques. En effet, les petits producteurs sont les premiers à subir les aléas économiques et même la violence des activistes opposés au système agricole actuel basé sur l’utilisation des phytosanitaires, herbicides, etc.). Les grandes multinationales sont les seules gagnantes, puisqu'elles ne supportent pas les coûts de la production agricole et contrôlent complètement les prix d'achat et de vente.
Dans ce contexte, des initiatives ont visé à la protection des petits exploitants ont vu le jour.
Merci Beacoup
Réponse : Correction : le locavorisme de
alienor64, postée le 27-04-2020 à 18:01:43 (S | E)Bonjour kimrodriguez
* Par rapport à
Bien que la sécurité alimentaire et le changement climatique soient les principales inquiétudes pour beaucoup de personnes, l'intervention des grandes multinationales rend presque impossible d'échapper à leur hégémonie sur la production alimentaire. D'un côté, le consommateur cherche un produit « local », mais de l'autre côté les petits producteurs ne sont pas proches du consommateur, ce qui engendre une problématique. Le consommateur finit par abandonner sa mission sans se rendre compte que le problème se trouve dans la façon d'accéder aux petits producteurs. Les intermédiaires arrivent toujours à occuper l'espace qui existe entre le producteur et le consommateur.
Un petit producteur n'a pas toujours les moyens d'obtenir un label certifiant la qualité de sa production, et cela l'empêche d'accéder au consommateur contrairement aux grandes multinationales.
Certains attaquent le locavorisme ou la production bio comme s'il s'agissait d'une simple mode de jeunesse, mais cela pourra être évité en favorisant les circuits courts de production et surtout en encourageant les petits producteurs à s'installer aux alentours des villes.
L'éco-ferme dans les villes et jardins :
De nos jours, les initiatives écologiques ne cessent de se multiplier dans le monde, mais la France et l'Angleterre sont les pays les plus avancés par rapport aux autres pays d'Europe.
Je voudrais vous montrer comment ces deux pays ont mis en place la présence de la campagne dans les villes.
La France
En dépit du statut de première puissance agricole en Europe, la réalité est bien différente de celle que présentent les études macroéconomiques. En effet, les petits producteurs sont les premiers à subir les aléas économiques et même la violence des activistes opposés au système agricole actuel basé sur l’utilisation des produits phytosanitaires, herbicides, etc.). Les grandes multinationales sont les seules gagnantes, puisqu'elles ne supportent pas les coûts de la production agricole et contrôlent complètement les prix d'achat et de vente.
Dans ce contexte, des initiatives ont visé
(participe présent de 'viser', et non passé composé ; le verbe principal de cette proposition se trouve un peu plus loin dans la phrase : 'ont vu le jour') à la protection des petits exploitants ont vu le jour.Bonne fin de journée
Réponse : Correction : le locavorisme de kimrodriguez, postée le 28-04-2020 à 12:07:05 (S | E)
Bonjour,
Je viens de corriger mon texte. Je suis en train de faire davantage d'exercices.
Voici ma correction :
Bien que la sécurité alimentaire et le changement climatique soient les principales inquiétudes pour beaucoup de personnes, l'intervention des grandes multinationales rend presque impossible d'échapper à leur hégémonie sur la production alimentaire. D'un côté, le consommateur cherche un produit « local », mais de l'autre côté les petits producteurs ne sont pas proches du consommateur, ce qui engendre une problématique. Le consommateur finit par abandonner sa mission sans se rendre compte que le problème se trouve dans la façon d'accéder aux petits producteurs. Les intermédiaires arrivent toujours à occuper l'espace qui existe entre le producteur et le consommateur.
Un petit producteur n'a pas toujours les moyens d'obtenir un label certifiant la qualité de sa production, et cela l'empêche d'accéder au consommateur contrairement aux grandes multinationales.
Certains attaquent le locavorisme ou la production bio comme s'il s'agissait d'une simple mode de jeunesse, mais cela pourra être évité en favorisant les circuits courts de production et surtout en encourageant les petits producteurs à s'installer aux alentours des villes.
L'éco-ferme dans les villes et jardins :
De nos jours, les initiatives écologiques ne cessent de se multiplier dans le monde, mais la France et l'Angleterre sont les pays les plus avancés par rapport aux autres pays d'Europe.
Je voudrais vous montrer comment ces deux pays ont mis en place la présence de la campagne dans les villes.
La France :
En dépit du statut de première puissance agricole en Europe, la réalité est bien différente de celle que présentent les études macroéconomiques. En effet, les petits producteurs sont les premiers à subir les aléas économiques et même la violence des activistes opposés au système agricole actuel basé sur l’utilisation des produits phytosanitaires, herbicides, etc.). Les grandes multinationales sont les seules gagnantes, puisqu'elles ne supportent pas les coûts de la production agricole et contrôlent complètement les prix d'achat et de vente.Dans ce contexte, des initiatives visant à la protection des petits exploitants ont vu le jour.
Merci beaucoup !
Réponse : Correction : le locavorisme de
alienor64, postée le 28-04-2020 à 14:18:10 (S | E)Bonjour kimrodriguez
Un seul mot : 'Bravo !
Juste une remarque : enlevez cette parenthèse fermante, puisqu'il n'y a pas l'ouvrante : '... basé sur l’utilisation des produits phytosanitaires, herbicides, etc.)'
- Il est inutile de nous présenter à nouveau ce texte qui est désormais parfait.
Bonne continuation
Réponse : Correction : le locavorisme de kimrodriguez, postée le 29-04-2020 à 09:30:58 (S | E)
Merci beaucoup !
Vous m'avez aidée vraiment beaucoup !.
Réponse : Correction : le locavorisme de
alienor64, postée le 29-04-2020 à 09:35:26 (S | E)
à vous, kimrodriguez et bonne continuation. Cours gratuits > Forum > Apprendre le français
