Traduction de texte espagnol
Cours gratuits > Forum > Forum espagnol || En basMessage de ded4239 posté le 20-01-2019 à 08:21:46 (S | E | F)
Bonjour,
J'ai traduit un éditorial du journal El Mundo pour parfaire ma compréhension et je recherche une correction.
Par avance merci.
Macron nos vigila
Cuando leí la crónica de Iñaki Gil sobre la última manifestación de la política exterior francesa, pensé que el titular exageraba: El Elíseo vigilará "muy de cerca" las alianzas en España con la extrema derecha. Así que la contrasté con otras noticias de la misma fuente oficial: eran -son- idénticas.
Me preocupé: la última vez que Francia intervino en España fue en la Guerra Civil, donde los franceses, como casi todos los países occidentales tras la creación del régimen soviético, se dividieron en los dos bandos: su actor más conocido es Malraux, típico "compañero de viaje" de Moscú, pero el que tuvo más poder real fue el jefe del PCF André Marty, El carnicero de Albacete, al que Stalin confió las Brigadas Internacionales. En informe a la Komintern, él mismo confesó -o exhibió- el fusilamiento de varios miles de brigadistas por razones políticas -tendencias troskistas- o por los delitos comunes que oculta L'Espoir: deserción, violaciones, robos, asesinatos en la retaguardia. Bernanos aparte, la gran mayoría católica, con Péguy al frente y Cambó al lado, denunciaron el genocidio de católicos del Frente Popular y apoyaron a Franco.
La intervención anterior fue la de Los Cien Mil Hijos de San Luis, que acabaron con el Trienio Liberal, repusieron la monarquía absolutista de Fernando VII e inauguraron la Ominosa Década, con su cortejo de terror, exilio y patíbulo para los liberales, hasta que finó El Felón. Nada al lado de la intervención anterior, la de Napoleón, que invadió España militarmente sin declaración de guerra, impuso como rey a su hermano, destrozó industria y monumentos, mató y violó tanto, y robó tantísimo -léase Galdós: El equipaje del rey José- que se recuperó una parte, porque no podían con tanto mueble, cuadro, lámpara y alfombra. Goya muestra el porqué del odio popular a los franceses.
Desconozco si Le Grand Macron o Petit Napoléon enviará cien mil chalecos amarillos a tomar la sede de Ciudadanos, que para alcanzar la vicepresidencia de la Junta de Andalucía no ha vacilado en aceptar los votos de Vox. Tras su vomitivo discurso nacionalista ante el presidente de los USA, que liberó Francia, Macron es el mejor aliado de Abascal. Citando a una macronita "España ya no está libre del nacionalismo", terminaba así su crónica Iñaki Gil: "se olvidó del procés". Ya se enterará.
Macron nous surveille
Lorsque j'ai lu la chronique de Iñaki Gil sur la dernière manifestation de la politique extérieure française, j'ai pensé que le titre exagérait : l'Elysée surveillera de "très près" les alliances avec l'extrême droite en Espagne. Aussi je l'ai contrôlée avec d'autres informations de la même source officielle : elles étaient- elles sont -identiques. Je m'inquiétai: la dernière fois que la France intervint en Espagne fut pendant la Guerre Civile, où les français comme presque tous les pays occidentaux après la création du régime soviétique, se divisèrent en deux camps: son acteur le plus connu est Malraux, typique "compagnon de voyage" de Moscou, mais celui qui eut réellement le plus de pouvoir fut le chef du PCF André Marty, le boucher d'Albacete, à qui Staline confia les Brigades Internationales. Dans un rapport au Kominterm, lui-même a avoué- ou a exhibé- l'exécution de plusieurs milliers de brigadistes pour raisons politiques - tendances Troskistes - ou pour délits de droit communs que dissimule L'Espoir: désertion,viols, assassinats à l'arrière-garde.
L'intervention antérieure fut celle des Cent mille Fils de San Luis, qui vinrent à bout du Trieno Liberal, remirent en place la monarchie absolue de Fernando VII et inaugurèrent "l'abominable décade", avec son cortège de terreur,d'exil, et d'échafaud pour les libéraux jusqu'à ce que le félon décède. Rien à côté de l'intervention antérieure de Napoléon, qui a envahi l'Espagne militairement sans déclaration de guerre, imposé son frère comme roi, détruit l'industrie et les monuments, tué et tant violé, et tellement volé - lire Galdós: El equipaje del Rey José - que l'on a récupéré une partie , car ils ne pouvaient s’occuper d'autant de meubles, tableaux, lampes et tapis. Goya montre la raison de la haine populaire à l'encontre des français. J'ignore si Le Grand Macron ou Petit Napoléon enverra cent mille Gilets Jaunes prendre le siège de Ciudadanos, qui, pour atteindre la vice-présidence de la Junte d'Andalousie n'a pas hésité a accepter les votes de Vox. Après son écœurant discours nationaliste devant le président des USA, qui libéra la France, Macron est le meilleur allié de Abascal.
Citant une "macronita" "L'Espagne n'est pas libérée du nationalisme", Iñaki Gil terminait ainsi sa chronique:"il a oublié le procès ". Maintenant il s'en informera.
Réponse : Traduction de texte espagnol de andre40, postée le 20-01-2019 à 09:36:41 (S | E)
Bonjour ded4239.
Macron nous surveille
Lorsque j'ai lu la chronique de Iñaki Gil sur la dernière manifestation de la politique extérieure française, j'ai pensé que le titre exagérait : l'Elysée surveillera de "très près" les alliances avec l'extrême droite en Espagne. Aussi(donc, alors?) je l'ai contrôlée (comparée?) avec d'autres informations de la même source officielle : elles étaient- elles sont -identiques. Je m'inquiétai: la dernière fois que la France intervint en Espagne fut pendant la Guerre Civile, où les français comme presque tous les pays occidentaux après la création du régime soviétique, se divisèrent en deux camps: son acteur le plus connu est Malraux, typique "compagnon de voyage" de Moscou, mais celui qui eut réellement le plus de pouvoir fut le chef du PCF André Marty, le boucher d'Albacete, à qui Staline confia les Brigades Internationales. Dans un rapport au Kominterm, lui-même a avoué- ou a exhibé- (je conjuguerais ces deux verbes au passé simple)l'exécution de plusieurs milliers de brigadistes pour raisons politiques - tendances Troskistes - ou pour délits de droit communs singulier que dissimule L'Espoir: désertion,viols, assassinats à l'arrière-garde. Bernanos aparte, la gran mayoría católica, con Péguy al frente y Cambó al lado, denunciaron el genocidio de católicos del Frente Popular y apoyaron a Franco. Vous avez oublié de trancrire cette phrase.
L'intervention antérieure fut celle des Cent mille Fils de San Luis, qui vinrent à bout du Trieno Liberal, remirent en place la monarchie absolue de Fernando VII et inaugurèrent "l'abominable décade" en majuscule, avec son cortège de terreur,d'exil, et d'échafaud pour les libéraux jusqu'à ce que le félon en majuscule, cependant, je garderais le surnom espagnol décède. Rien à côté de l'intervention antérieure de Napoléon, qui a envahi l'Espagne militairement sans déclaration de guerre, imposé son frère comme roi, détruit l'industrie et les monuments, tué et tant violé, et tellement volé - lire Galdós: El equipaje del Rey José - que l'on a récupéré une partie placer devant "que l'on..." , car ils ne pouvaient s’occuper d'autant de meubles, tableaux, lampes et tapis. Goya montre la raison de la haine populaire à l'encontre des français. J'ignore si Le Grand Macron ou Petit Napoléon enverra cent mille Gilets Jaunes prendre le siège de Ciudadanos, qui, pour atteindre la vice-présidence de la Junte (gouvernement) d'Andalousie n'a pas hésité a accepter les votes de Vox. Après son écœurant discours nationaliste devant le président des USA, qui libéra la France, Macron est le meilleur allié de Abascal.
Citant une "macronita" "L'Espagne n'est pas libérée du nationalisme", Iñaki Gil terminait ainsi sa chronique:"il a oublié le procès ". Maintenant il s'en informera.
Bonne journée.
Réponse : Traduction de texte espagnol de leserin, postée le 20-01-2019 à 19:05:18 (S | E)
Bonsoir, ded4239.
J'ai traduit un éditorial du journal El Mundo pour parfaire ma compréhension et je recherche une correction.
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Je crois que cet article n'est pas un éditorial. En Espagne l'éditorial d'un journal est un article qui reflète le point de vue de l'éditeur sur un thème d'actualité, et normalement cet article n'est pas signé. "Macron nos vigila" (11/1/2019) est un article d'opinion du journalist Federico Jiménez Losantos, qui a sa propre rubrique -Comentarios liberales- dans le journal El Mundo.
Cordialement.
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